voici en de meilleur terme que les miens noté: que les français utilise le terme incidence et nous angle d'attaque.
Voici un site pour bien comprendre le mouvement du rotor bonne lecture
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Lors du vol à altitude fixe, le rotor a un angle d’incidence positif constant qui lui permet d’évoluer sans perdre d’altitude.
L’autogire en vol en montée : Pour monter il suffit de basculer la tête du rotor vers l’arrière. Le phénomène de précession gyroscopique abaisse l’arrière du rotor et augmente ainsi son angle d’incidence. La seconde solution consiste à augmenter la vitesse de rotation du rotor à incidence constante.
L’autogire en vol en descente : Pour descendre il suffit de basculer la tête du rotor vers l’avant. Le même phénomène de précession gyroscopique monte l’arrière du rotor, son angle d’incidence baisse tout en restant positif. On peut aussi abaisser la vitesse du rotor à même incidence.
L’autogire en descente sans moteur : Pour le vol en descente sans propulsion, (par exemple, lorsque le moteur est défaillant), on incline fortement le rotor vers l’avant pour obtenir un angle d’incidence proche de celui utilisés en descente. Une traction T est générée qui entretient la vitesse de l’appareil.
L’autogire en virage : Pour virer, il faut agir sur la dérive dans le sens voulu. De plus il est nécessaire de pencher le rotor dans le même sens que la dérive. Deux nouvelles forces apparaissent, Fv la force du virage et Fc la force centrifuge. Il en résulte une inclinaison de l’appareil.Les autogires ne décrochent pas, ils ne peuvent pas perdre brutalement leur portance. Ils ne peuvent pas non plus partir en vrille, la vrille survient lorsque qu’une aile seulement décroche. Même si les autogires on la réputation d’être très stables, il existe quelques situations qui sont souvent fatales à l’appareil. Influence du facteur de charge : Lors d’une augmentation du facteur de charge, perturbation, montée, descente, virage, il en résulte une variation du régime rotor. A chaque augmentation du facteur de charge correspond une accélération du régime rotor, le contraire se produit pour une diminution du facteur de charge. Celle-ci n’est que temporaire et ne dure que le temps de cette variation. Cependant une variation du régime rotor trop importante peut entraîner le rotor en battement. Il risque de percuter l’hélice ou la dérive, ou même de se détruire. Ce phénomène peut se produire au sol, si le pilote cherche à décoller alors que le régime rotor est trop faible (moins de 100/120 tr/min). Balancement de l’autogire : La portance n’étant pas appliquée sur le centre d’inertie mais bien au dessus, il arrive parfois lors de perturbations que l’appareil se balance comme un pendule. Un pilote inexpérimenté tente, pour parer ce mouvement de le contrebalancer avec le manche. Il ne fait qu’entretenir ces oscillations qui finissent par renverser l’appareil alors qu’elles auraient cessé naturellement si aucune manœuvre n’avait été entreprise.