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J'imagine que lorsque ça arrive, tu pense pas trop a ça mais plutôt de poser l'appareil le plus doucement possible. Il s'est gardé du moteur pour faire son arrondi il me semble. L'appareil se serai possiblement posé plus fortement ou en décrochage sans moteur.
Rendu la, on s'en fout, en autant que tous les passagers sont OK
Oui Lufthansa Flight Training ont ce contrat avec l'armée de l'air allemande depuis 1989 avec près de 3000 pilotes passés par là depuis.
Ce n'est pas exceptionnel pour une compagnie privée de former des pilotes militaires pour certaines phases de leur formation (comme aussi ITPS à London en Ontario pour donner un exemple plus proche de nous).
Assuré ou pas l`asphalte est le choix idéal.
Concernant le gazon, il est fort possible d`avoir des bonds et avoir une perte de contrôle qui risque de faire des dommages plus importants et aussi une possibilité d`avoir aussi des dommages corporels.
Bien, oui sur le gazon, le risque de faire un peu plus de dommage est plus grand.
Je suis d'accord.
Par contre, sur le pavé, les étincelles fusent de partout.
Et les réservoirs d'essence, le Gascolator sont seulement à qqe pouces de laisser filer leur essence.
Essence et flamèches = Feu
Et feu pour un gars pas assuré ayant un salaire de $20-25 l'heure = Fin de l'aviation et une belle dette de 10-15-20 ans
a continuer de payer, sans possibilités de vendre des pièces pour renflouer légèrement la dette car le feu aura tout détruit.
Et avec des dettes de même des idées noires pourraient surgir et causer encore plus de dommage.
Donc , l'option du gazon demeure un bon choix à considérer, pour une très forte portion de pilotes propriétaires.
La clé c'est d'avoir une surface bien lisse. C'est garanti sur une piste en dur mais on n'est jamais trop certain avec une prairie, généralement. Si on a une belle piste en gazon faite pour les avions je suis d'accord avec Bob.
L'autre facteur c'est de savoir si la surface en contact avec le sol est celle d'un réservoir de carburant, c'est rarement le cas avec les avions légers mis à part des tombeaux volants des années 1950 alors la piste en dur est préférable et quelques flammes ne sont pas problématiques.
J'ai déjà travaillé sur un petit jet dont le pilote d'essai a fait le choix de la piste (fin des années 80), il s'est posé sur ses volets baissés et a glissé doucement. Les journaux titraient le lendemain que le jet s'était crashé (en évitant une école de justesse évidemment), mais pendant la nuit on avait changé les volets et l'avion était au décollage le lendemain matin alors les titres des journaux avaient l'air un peu fous.
Se poser train rentré normalement il y a rien là, on se pose normalement et ça demande juste un peu de maintenance supplémentaire avant le vol suivant. Il ne faut pas en faire un plat et se mettre dans le trouble.