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Synoptic wrote:C'est degueulasse de la part de la RAMQ. S'ils veulent réclamer, que le Québec devienne comme les States ostie.
Pcq la ca rentre dans le debat si telle ou telle activité est trop dangereuse pour l'état.
Je crois que l'on peu regarder un peu plus loin que l'article, Ce n'est pas seulement la Compagnie qui peu etre actionner mais bien les pilotes responsable aussi et ca c'est commencer il y as deja quelque années. On en est maintenant, durant les entrainements annuels a enseigner des façons de faire qui n'existaient pas avant dans le passe, juste et je dis bien juste pour etre du cote legal en cour si quelque chose virais au vinaigre. Ce que l'on veux maintenant n'est pas de survives un accident mais bien de survivre le cote legal apres l'accident.
Ça a pas d'allure. Les compagnies d'assurances vont devoir couvrir pour les soins médicaux "au cas où", mais c'est pas légale au Québec il me semble une assurance privée qui couvre un Québécois pour des soins hospitaliers dans un établissement public.
Ça fait très longtemps que la RAMQ poursuit toute personne qu'elle considère responsable de dommages corporels, exception faite seulement je crois pour les accidentés de la route.
De là, l'importance des assurances responsabilité, d'un montant suffisant, pour nos activités à risques.
Personnellement, ça ne me défrise pas qu'on soit redevable de nos erreurs ou de nos fautes. Sinon, si l'État devait les assumer à notre place, je crois bien qu'on ne vivrait plus dans un système capitaliste.
Juste comme ça. On parle pour parler. Combien d'entre nous, avec l'expérience qu'on a, auraient décollé avec moins de 250 pieds de visibilité, assis ou non sur une chaise de plastique, avec un pilote très expérimenté comme c'était le cas?
C'est sûr qu'un pilote qui a plus de 10 000 heures de vol et qui vous dit que «ça passe», c'est rassurant et surtout intimidant de l'obstiner! Mais j'ignore si j'aurais eu la volonté de rester là, surtout si tous les autres passagers étaient prêts à décoller.
Souvent les pilotes de brousse maîtrise très bien leur appareil et là météo local aussi, je crois que le problème réside dans la gestion de la situation et ici je parle de la pression que le personnel navigant à pour accomplir la mission du BIG BOSS et là le problème qui est le BOSS, pilote ou celui qui signe le chèque.
Trop souvent les accidents et incidents sont une prise de décision avec les mains liées.
Ha oui pour répondre à la question, oui j`embarque dans l`avion avec un pilote d`expérience, pour sensiblement les même raisons mentionnées si haut.
Payer beaucoup de$$$$ pour un voyage de chasse ou de pêche, rêver toute l`année pour le voyage et oui la prise de décision est souvent comme le pilote pris entre l`arbre et l`écorce.
Je viens de lire le rapport. Les conclusions sont formelles: le vol était en deçà des conditions minimales VFR ( et il y a aussi l'histoire de la chaise de plastique...). Dans un cas comme celui-ci, est-ce que les assurances paient (dommages et responsabilité civile?), lorsqu'il y a preuve que le vol n'était pas "légal"?
À première vue je dirais que oui, parce que le geste n'était pas intentionnel. La négligence (lorsque non grossière) s'assure! Le pilote étant décédé, il n'a sûrement pas voulu cette conséquence, tant pour lui que pour les passagers.
LIO wrote:j ai toujours pensé que
Visibilité 0% = Accident 100 %
Je ne veux pas me retappé toute la lecture du rapport mais il n' a pas été dit que la visibilité était 0 %....et surtout au nombre d' heure que ce pilote avait Je suis certaine qu' il n' aurais pas décollé
Dolorès
j'ai pris cette photo le 15 sept. 2004 en fin d'après midi après que le beaver nous ait laissé sur le bord du lac lors d'un voyage au Caribou au nord de Shefferville. Nous avions attendu toute la journée sur le quai à Sqaw lake en espérant que la météo s'améliore. Vers 15h le pilote nous a dit '' on va s'essayer pis si ça passe pas, on va retourner de bord''.
J'ai eu la chienne tout le long mais je me disais que le pilote devait savoir ce qu'il fait. Avec ma petite expérience de pilote, je serais rester à terre, mais nous avions très hâte de monter en haut.
Pour le retour c'était beau
L'année suivante, pendant que nous étions toujours en haut pour le caribou C-FODG a manqué de chance.