Des fois, je me dis qu'il y a de pires moments dans la vie.
Je crois que la compagnie était Trans-Québec et le pilote un prénommé Lévis. Nous utilisions des baromètres de hautes précisions, 3 dans l'hélico et 2 témoins au sol. Nous avions un circuit de 20-25km, les 2 baromètres au sol étaient sur 2 sites d’atterrissage aux extrémités du circuit. Dans chaque circuit il y avait entre 7 et 15 sites, alors on s'assurait de passer à chacun des sites 2, deux à trois fois tous les 30 minutes environ. La lecture des baromètres au sol se faisait à tous les 15 minutes et ceux de l'hélico à chaque atterrissage. Si je me rappelle bien, lorsque au sol, le pilote maintenait le "torque" à 40% et après environ une minutes on prenait les lectures (ce que fait le passager). Ceci nous donnait un bonne précision de l'élévation amplement suffisante pour la cartographie.
Comme vous voyez, le GPS, n'a rien inventé, il utilise ce que d'autres ont eu le
En passant, un soir l'équipe de mécanos nous attendait à Carleton en arrière de l'hotel. Ils ont changé un pièce de la transmission durant la nuit. Le matin suivant on repartait.




