Theo007 wrote:Météo, tomber de la nuit, brouillard, , bref plusieurs facteur plus grave selon moi que la solidarité qui aurai changer les choses ?
Pour ceux qui ont suivi notre voyage, j'ai fait face à ce genre de décision lors de notre dernière journée (et d'autres), au retour à la maison.
Ceux qui se demandaient pourquoi on a dévié tant de notre trajectoire dans le parc des Laurentides, vers La Tuque et finalement, le réservoir Taureau à 40 minutes de St-Mathias, et bien c'était bouché. Pourtant, à peine quelques milles plus au sud, il y avait des avions VFR dans le bout de Sorel et autour.
Après 9 heures de vol et seulement 30 minutes avant le coucher du soleil, j'ai décidé de coucher au Taureau. Le lendemain, petit vol de 40 minutes pour arriver bien reposé à notre destination finale.
Pas toujours facile de prendre cette décision, surtout après plus de 30 heures de vol dans des conditions presque similaire.
Une fois à l'auberge, j'avais hâte d'être dans les airs le lendemain et non d'être au sol ce soir là :wink:
Chaque événement est différent et nous devons savoir prendre une pause quand c'est le temps. Pour la théorie de se fixer une limite à ne pas la dépasser, pour ma part, y'a pas grand chose qui est noir ou blanc. Cette ligne entre le "je continue ou j'arrête" n'est pas tracé dans le ciel et quand on la franchit, parfois, on le la voit pas passer.
Bye
JC