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La paix avec moi-meme !!!!lol,lol.lol 5 minute apres j'étais en paix rassure toi les photo se promenais sur le site 15 jour apres , l'aviation c'est pas une secte religieuse... :lol: :lol: :lol: si fallais que je ne sois pas en paix chaque fois qui m'arrive quelque chose ... j's'rais pas en paix souvent , because je bouge beaucoup et souvent sur des oeufs . et avec le temp tu apprend , tu te dis que sur le coup c'est pas drole mais que plutard tu vas en rire et c'est toujour ce qui arrive... :wink:
Personellement une shut comme ça est plus dure a pardonner qu'un crash d'avion...
pour la reparation proprement dite ça couté de mémoire 58 000 $ plus 10000$ de ma poche pour les snags trouvées au passage... :?
martin 8)
Last edited by snowman on Thu 12 Feb, 2009 10:11, edited 1 time in total.
Mais les gars. vous ne faites pas presque toujours de beaux atterrissages ??? Ca doit être les femmes alors, meilleur feeling !!! :D
Plaisanterie à part j'ai fait mon meilleur atterrissage lors de mon dernier vol en Robin DR400 en 2007 à Sion (LSTA). Comme Serge c'était "comme sur de la ouate", j'ai pas senti le sol.
Et bien moi c'est en donnant un p'tit tour de l'est de la province avec un client...
En chemin, j'ai voulu faire un poser-décoller à St-Fred (CSZ4) de nuit. Après le décollage, le gars m'a demandé si on avait touché terre. :shock: :D :mrgreen:
Ou la première fois que mes passagers on applaudis à l'atterrissage! :wink: :oops:
Comme vous le savez sans doute tous, je ne suis pas pilote... voici donc un atterrissage mémorable en tant que passager.
J'avais à l'origine posté ce text en anglais sur yulaviation.com.
Pour le mettre ici, je me devais de le traduire... mais je n'ai pas le temps présentement.
Voici donc la version intégrale anglaise et... sa traduction en "Toronto French" faite par le traducteur de Google attention de ne pas trop rire...
((got to love or hate these flights in the middle of winter by temperatures like those today... YBG is a bumpy place when you come close to the Saguenay river. Have a few memorable flights...)
(j'ai eu de l'amour ou la haine de ces vols dans le milieu de l'hiver par des températures comme celles d'aujourd'hui ... YBG est cahoteuse lorsque vous venez à proximité de la rivière Saguenay. Avez quelques mémorables vols ...)
posted about a year ago :
Normally one should NOT see the runway when the plane is coming in for a landing (unless you are among the happy few in the nose of a 747) yet I remember one epic flight with Quebecair back in winter of 1978.
posté il ya environ un an: Normalement, il ne faut pas voir la piste lorsque l'avion est à venir pour un atterrissage (sauf si vous êtes parmi les heureux élus dans le nez d'un 747) Je me souviens encore un vol épique avec Quebecair retour à l'hiver 1978.
After a flight from YUL, we were approaching Bagotville in a BAC-111 and it was a snowy nightmare outside. Could not see a thing down there so I guessed the pilot did not see much in front neither.
Après un vol de YUL, nous approchions de Bagotville dans un BAC-111 et il a été un cauchemar de neige dehors. Impossible de voir une chose là-bas alors j'ai deviné que le pilote ne voit pas bien en face non plus.
At one point (as ground was becoming visible), I thought I saw a runway parallel to our heading (there are no parallel runways in Bagotville). Then the pilot reved up the engines, we heard the landing gear coming back in and the doors closing.
À un moment donné (en tant que terrain est de plus visible), j'ai pensé, j'ai vu une piste parallèle à notre rubrique (il n'ya pas de pistes parallèles de Bagotville). Ensuite, le pilote reved les moteurs, nous avons entendu le train d'atterrissage et de revenir dans la fermeture des portes.
The pilot took the public address system and informed us that “the approach radar” was down. He would make another try at it. If it did not work we would head for Sept-Îles.
Le pilote a pris le système et nous a informé que "le radar d'approche" est en baisse. Il ferait un autre essai. Si elle ne fonctionne pas nous diriger vers Sept-Îles.
The second time around, the same scenario was repeated. Suddenly, the runway was again visible to my left. Then the runway markings began to go by. I thought “Sept-Îles here we come”. But in a fraction of a second (but seemed much longer then that), he tilted the plane (as if he was flying a bush plane with props) and made a sideways glide to align with the runway. We hit pretty hard. He put the engines in full reverse and finally brought us to a stop not that far from the end of the runway.
La deuxième fois, le même scénario s'est répété. Soudain, la piste était encore visible à ma gauche. Ensuite, les marques de piste a commencé à passer. Je pensais que "Sept-Îles, nous voilà". Mais en une fraction de seconde (mais semble beaucoup plus long alors que), il a incliné l'avion (comme s'il volait un avion de brousse avec les accessoires) et fait un vol plané vers le côté à aligner avec la piste. Nous avons frappé très fort. Il a mis les moteurs en marche arrière et finalement plein qui nous a amenés à un arrêt non loin de la fin de la piste.
As we got off the plane and into the small terminal, no one was around at the Quebecair counter. Then we saw the staff with their coats on coming down a small stairway.
Comme nous l'avons pris l'avion et dans le petit parking, il n'y avait personne autour de la Quebecair compteur. Ensuite, nous avons vu le personnel avec leurs manteaux sur le descendre un petit escalier.
One passenger said “wow! you should have seen this landing”. The clerk answered “Oh but we did!!! We were all on the rooftop! Your were flying with Commandant C….. We knew he would bring the plane to the ground. We were just wondering “how”…”
Un des passagers, a déclaré: «wow! vous avez vu ce atterrissage ". Le greffier a répondu "Oh, mais nous avons fait! Nous avons tous été sur le toit! Votre vol a été avec le commandant C ... .. Nous savions qu'il serait de l'avion au sol. Nous étions juste se demander "comment faire" ... "
Each time I flew with Quebecair after that (and I did it on a weekly basis) I was always nervous when the pilot said “Hi I am Commandant…..” hoping it would not be Commandant C.
Chaque fois que je me suis envolé avec Quebecair après (et je l'ai fait sur une base hebdomadaire) J'ai toujours été nerveux quand le pilote a dit "Salut, je suis Commandant ... .." en espérant qu'il ne serait pas le commandant C.
Hmmm pourquoi ce sont toujours nos pires atterrissages qu'on se rappelle le mieux :roll: Mais tout de même, le printemps dernier, j'avais fait un petit vol sur Pembroke (CYTA). Puis lorsque je suis revenu à Gatineau, les vents étaient devenus 20GST25KT de travers. Mon atterrissage n'était pas le plus élégant mais il était sécuritaire. Il faisait chaud dans le cockpit :P
Aussi la fois où j'ai passé le plus proche de la catastrophe :evil: Je pense que j'en ai déjà parlé mais je le répète :wink:
La piste de Bancroft est assez "intéressante" puisqu'elle est au fond d'une vallée. Je suis arrivé trop haut, trop vite avec un C-150 :roll: et l'avion s'est mis à rebondir. Un cycle harmonique s'est amorcé et normalement, l'ajout d'un peu de puissance aurait stabilisé la situation. Mais j'étais encore "low-time" et je n'avais pas développé ce réflexe.
Le troisième rebond fut très dur et un quatrième aurait été catastrophique si je n'avais pas remis la puissance. La morale, soyez toujours prêt à remettre la puissance et faire un go-around. Ça ne m'est pas souvent arrivé, mais les 3-4 fois que je l'ai fait ont certainement évité de froisser du métal.
Pour aider, vers les derniers moments, je me dis toujours en arrière pensée, que la roue de nez c'est juste assez fort pour empêcher l'hélice de toucher le sol quand on circule (surtout vrai pour les Grumman) :)
Je commence a pogner le tour avec VLU. Les derniers commencent a faire "ouate" pas mal à mon goût.
CH300-FNQI wrote:Hmmm pourquoi ce sont toujours nos pires atterrissages qu'on se rappelle le mieux :roll: Mais tout de même, le printemps dernier, j'avais fait un petit vol sur Pembroke (CYTA). Puis lorsque je suis revenu à Gatineau, les vents étaient devenus 20GST25KT de travers. Mon atterrissage n'était pas le plus élégant mais il était sécuritaire. Il faisait chaud dans le cockpit :P
Si tu te rappelles juste tes mauvais atterrissages, c'est bon signe. Ça veut dire que la grande majorité étaient très bons, donc ils se perdent dans le nombre.....
Je ne sais pas, mais dans ma courte expérience, c'est celui que je me souviens le plus...
C'était à mon premier solo.
Après 2 circuits avec instructeur, ce dernier me "lâche" tout seul.
Était-ce dû à la nervosité (car ça, il y en avait en masse), je ne sais pas. Mais ça s'est TRÈS bien passé.
Lorsque je me suis rentré à l'école, l'un des formateurs qui m'avait suivi lors de mon solo m'a dit "on aurait dît une grosse poule qui s'est assise sur ses oeufs", en parlant de mon atterrissage. :lol:
Je l'ai pris comme un compliment ! 8)
Moi mon meilleur atterissage, c'est quand j'ai amené ma femme et mes enfants (5 ans et 7 ans) pour la première fois en C-172. C'était l'hiver, les conditions étaient idéales, pas de vent et un beau soleil. Ma femme étant plutôt du genre nerveuse, j'avais donc choisis la journée idéale. Après le décollage, mon petit dernier (celui de 5 ans) s'est endormi. Je me suis dit, tiens au moins un de pas nerveux!!! On a fait une ballade d'a peu près une demi-heure et après, retour à l'aéroport. Je me disais à moi-même en finale, y faut que ca soit doux sinon y voudront plus revenir!!! Ben ca vraiment été doux parce que après l'atterrissage, ma femme m'a donné une tape sur l'épaule, j'ai regardé sur le siège arrière: le petit dormait encore!! Il ne s'était même pas réveillé. C'est seulement rendu au parking qu'on la réveillé.
Pour moi, ca demeure une référence pour défénir un bon atterissage. Mais je dois quand même avouer que j'en ai fait des pas mal plus dur à l'occasion. Dur pour l'égo plus que pour l'avion.