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Les pilotes de la première guerre mondiale volaient à cockpit ouvert même si la technologie aurait permis de voler dans un cockpit fermé en verre, à l’abri des intempéries.
Les pilotes invoquaient trois raisons à cette obstination :
Ils n’entendraient pas le son produit par le vent frottant les câbles, confirmant que la structure tenait bon. Ils craignaient que, lors d’un accident, les blessures et les bris ne soient multipliés par l’ajout de ce « gadget ». Ils se souciaient surtout de ne pouvoir « sentir la présence de l’ennemi » alors même qu’ils volaient dans les effluves d’huile de castor brulé.
Bonjour
Albatros dit (Baleine)
les pilotes preferaient le cokpit ouvert parceque la plus part de ces avions n'avait pas d' air speed ou plutot un simple palette avec un ressort accroche sur l'aile ,donc la sensation du vent relative sur la figure du pilote lui indiquait bien avant que cela deviennent mou qu'il allait décrocher
Le grand foulard de soie blanc c'etait pour s'essuyer le visage des projections d'huile de castor ( KLOOTZ ) pour les amateurs de course
On oublie que ces avions, ceux avec moteur rotatif, n'avait pas de petit carburateur de ralentie, que l'huile etait consommé comme un deux temps
que tout le carburant passait dans le l'axe du moteur.
que ces avions avait un CG assez empirique souvent trop arriere que une fois en vrille trés difficle a en sortire.
Sur les moteurs rotatif, un effet giroscopique élevée qui permentait des virrages penchés que dans un sens
pas de roulette arriere, un patin cuillere
pas de frein
pas de demarreure
Pas de supension sur le train
les commandes a corde a piano (double corde pour les avions militaires)
des roues a rayon étroite de grand diametre pour les champs
Des grandes hélices (jamais une hélice plus petite que le pilote, c'etait mal vue) les diamtres entre 90 pouces a 110pouces des moteurs qui tournent a 1200rpm en croisiere donc un effet de couple au décollage asssez important . (c'est le fuselage qui veut tourner au lieu de l'hélice)
la vie des moteurs même ceux en ligne etait autour de 30 heures
Pas de fil de bougie , de la corde a piano sur des porcelaines
un seul fournisseur de magneto (Bosh) qui vendait au gros prix)
du carburant disparate d'une place a l'autre (les pilotes faissaient des tests simple pour savoir la teneur en gomme et soufre)
la consomation d'huile etait trés élevée sur ces moteurs , souvent un reservoir auxiliaire pour l'huile.
encrassage des bougies presque a chaque sortie nettoyage
panne de moteur regulierement donc toujours un champs en vue
Un grand nombres de pilotes se sont tués par accident , que au combat.
C'est beau quand un regarde les films ou les livres , mais quelle galere pour les pilotes qui chevauchaient ces montures, d'ailleurs les militaires recrutient les pilotes parmis la cavalerie
(Bleux max) illustre bien les classes sociales dans l'aviation ainsi que l'ésprit de chevalier de ces pilotes, du moins au début du conflit
L'atitude la plus élevée atteinte par un avion à hélice est de 96 863 pieds en 2001 ...
Un avion sans pilote, le AeroVironment's Helios, est équipé de 14 moteurs électriques. Il a une envergure de 247 pieds et peut voler à 50 000 pieds d'altitude pendant deux jours consécutifs.
Paul :D :D
Autres détails et photos en cliquant ici ou ici ou encore ici.
Eugène Jacques Bullard a servi lors de la Grande Guerre (la 1ère) comme pilote de chasse au sein de la "French Flying Corps" (la contrepartie de la Royal Flying Corps).
Ses exploits lui ont mérité plusieurs médailles dont la plus haute distinction Française, la Légion d'honneur.
La particularité de Bullard était qu'il était noir (le premier pilote de chasse noir), né en Georgie et qu'il avait été refusé au sein de l'aviation militaire américaine, vous l'aurez deviné, à cause de la couleur de peau.
Eugène Jacques Bullard a servi lors de la Grande Guerre (la 1ère) comme pilote de chasse au sein de la "French Flying Corps" (la contrepartie de la Royal Flying Corps).
Ses exploits lui ont mérité plusieurs médailles dont la plus haute distinction Française, la Légion d'honneur.
La particularité de Bullard était qu'il était noir (le premier pilote de chasse noir), né en Georgie et qu'il avait été refusé au sein de l'aviation militaire américaine, vous l'aurez deviné, à cause de la couleur de peau.
Paul :D :D
Je crois qu'il est représenté dans le film "FlyBoys, L'escadrille Lafayette" que j'ai en DVD à la maison. C'est l'histoire de la première escadrille de chasse française durant la première guerre mondial. Bon film à voir.
Qui ne s’est pas attendri devant la photo du gentleman portant foulard blanc et longs gants aux commandes de son avion lors de la Grande Guerre ?
La réalité était cependant moins « glamour ».
Le foulard servait en fait à essuyer du visage du pilote l’huile projetée par le moteur.
Pour ce qui est des gants… Le monoplace Aeronca C-2 de l’époque n’avait pas de freins et était doté de minces roues proéminentes (genre bicyclette). Le pilote n’avait qu’à agripper les roues afin de freiner (un vrai « brake à bras » quoi !) ou encore à serrer une roue pour faire tourner l’avion (un peu comme une chaise roulante).
Les contrôleurs aériens avaient pour habitude d'interpeler le DC-9-32 du propriétaire du magazine Playboy, Hugh Hefner, avec l'indicatif "Big Bunny One".
En fait, le foulard blanc devait être absolument fait de soie et servait surtout de "lubrifiant" pour le cou en quelque sorte, surtout pour les pilotes de chasse qui devaient constamment bouger la tête dans tous les sens afin de rester en vie... :wink:
Sans le foulard, la peau de leur cou devenait très vite irritée et douloureuse, limitant leurs mouvements, et diminuant leur espérance de survie !!! :shock: La possibilité d'essuyer l'huile craché par le moteur venait en bonus.
Le «Harbour Grace Airport» de Terre-Neuve possède quelques particularités qui, à son heure, lui a valu le titre d’aéroport le plus important et fameux de ce coté-ci de l’Atlantique :
o Il a été bâti en 1927 et a été le premier aéroport civil nord-américain destiné à facilité les vols transatlantiques. o Il a été fermé en 1936 (durée de vie de 9 ans), o Rouvert en 1999
Mais surtout, durant sa courte « première » vie, il a servi de point de décollage de 20 avions seulement dont celui de Amelia Earhart.
Paul :D :D
Last edited by PaulD on Mon 24 Nov, 2008 08:44, edited 1 time in total.
Aigleca wrote:Les contrôleurs aériens avaient pour habitude d'interpeler le DC-9-32 du propriétaire du magazine Playboy, Hugh Hefner, avec l'indicatif "Big Bunny One"..
Ouch méchant film de collection.
Le DC-9 n'avait pas que sa peinture de noir :lol:
Je ne me souvenais pas d'Hefner habillé autrement qu'en robe de chambre.
Le coup de la cassette 8 piste (innovation d'entre les innovations) est mégaquitche.
J'ai :D et :lol: un bon coup!
Frank-Mtl a dit:Pareil comme sur les vols d'Air Transat ...
:lol: :lol: :lol: beuac
En passant y est venu à québec ce DC-9 là, au début des années 80 ou un peu avant. En tout cas je l'avais vu de près par hazard, et je m'étais même permis une p'tite incursion dans le bord de la porte :shock:
Le record du nombre maximum de types d'avions pilotés revient au capitaine Eric "Winkle" Brown , de la Marine Royale, qui a piloté 487 types d'avions différents.
Il fût commandant du "Enemy Aircraft Flight", un groupe de pilotes d'élites britanniques qui testa les avions allemands capturés lors de la 2e guerre mondiale (il en pilota personnellement 53).
Le 3 décembre 1945, il effectua le premier appontage d'un jet, le Havilland Sea Vampire.
Paul :D :D
Il m'en manque 480 pour égaler le record !! :cry: :cry:
Par choix ou par hasard, tous les avions de ligne multimoteurs produits par Boeing affichent un 7 dans leur dénomination; 247, 307, 377, 707, 717, 720, 727, 737, 747, 757, 767, 777 et 787. Tous, sauf un, le Boeing 314 Clipper. Ce fût également le seul hydravion.
Vous vous souvenez sans doute de nos petits avions en bois balsa mùs par un élastique.
Un tel avion a volé en 2006 en transportant un passager, à Surrey (Angleterre).
Après avoir installé le pilote, étiré au maximum l'élastique et relaché l'hélice, l'avion a volé sur une distance de deux mètres. Seule ombre au tableau, l'avion est parti à reculons. :twisted:
Le pilote a dù faire un maudit saut quand ils ont lâché l'hélice et qu'il s'est senti partir dans le mauvais sens...
Celui qui a tourné l'hélice dans le mauvais sens a dù se faire chauffer les oreilles... :)
Frank-Mtl wrote:Elle est très bonne celle-là Paul !
Le pilote a dù faire un maudit saut quand ils ont lâché l'hélice et qu'il s'est senti partir dans le mauvais sens... Celui qui a tourné l'hélice dans le mauvais sens a dù se faire chauffer les oreilles... :)
Frank
Ben non, ca devait être une précaution du gars qui tournait l'élastique, il s'est dit "Si j'échape l'hélice, au moins elle ne me rentrera pas dans façe" :mrgreen: