Salut la gang.
Je decolle de nuit le vendredi 13 pour une nuitee a Rimouski, une autre a Charlestown le 14 pour finallement atterrir aux Iles St-Pierre & Miquelon le 15. Retour a Lachute prevue le 29 via Terre Neuve, Labrador et Cote Nord.
Bonne vacances et bons vols a tous.
JP de Blainville
Bonne Vacances a tous.
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DenisGagnon
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toxedo_2000
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c_gbcx
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Salutation a tous.
C'est avec plaisir que je vais vous raconter mon voyage.
Comme vous le savez tous l'aeroport de Lachute etait ferme du 9 au 13 septembre pour renovation. Malgre cette fermeture prevue, lors du dernier vol precedant le depart je pris soin de faire le plein d'essence et pendant les renovations j'en profitais pour retirer sieges, dossiers arrieres et proceder au chargement de l'appareil. Comme je decollais le vendredi 13 ( FIOUFFF, je ne suis pas superticieux ) je suivais de tres pres l'evolution des travaux et consultais souvent le notam. Vendredi 13, je suis febrile, mon compagnon de voyage venant de Sherbrooke est arrive chez moi et le notam est toujours en force. A 17:30h je reverifie le notam et surprise, YESSS la piste est reouverte, 15 min plus tard nous sommes en route pour Lachute.
Apres avoir verifier avec le FIC meteo, notam et donner plan de vol on decolle sur un vol de nuit pour Rimouski. L'arrivee a Rimouski etant de nuit se fait sans tambour ni trompette. Bref personne a la reception, c'etait previsible mais ils se sont tres bien reprit le lendemain matin.
Samedi 14 au matin, on fait de nouveau le plein d'essence, encore une fois le FIC et decollage pour Challottetown IPE avec une meteo superbe.
Avis aux interesses il y a des frais de 50$ pour l'appel de service pour l'essence les fin de semaine. A part ce frais, l'accueil a ete tres chaleureux tous s'empressant a nous donner informations et transport pour le motel. Le souper a Charlottetown a ete sur le Victory Row, mignonne rue pleine de terrasses et resto.
Dimanche le 15, encore l'essentiel FIC et decollage pour St Pierre & Miquelon. Selon la meteo prevue, pas de probleme pour le decollage et CAVOK a St-Pierre mais on devra voler une bonne partie du voyage en OTT, ce n'est pas grave, il faut bien qu'elle serve a l'occasion cette qualifitation. A 50mn de St Pierre, comme je suis toujours au dessus de la couche, je communique avec la tour de nos amis francais pour m'enquérir de la meteo et on me confirme que c'est toujours CAVOK, YESSS on continue. Merde alors, a 25mn la tour m'avise de faire rapidement car il y a des bancs de brouillard qui arrivent. Croyez moi, ils entrent tres rapidement, tellement rapidement que arrivé a la vertical de l'aeroport il est deja trop tard. J'ai tourner en rond au dessus de l'aeroport le temps necessaire pour avoir un degagement me permettant de voir les installations, la montagne et la mer. Je ne stressait pas car il me restait 3 hrs de vol dans les reservoirs, suffisamment pour me rendre a Terre Neuve mais j'avoue que j'ai apprecier la capacite des 50gal/us de mes reservoirs. Finallement je me suis poser trop tard pour serrer la main de mes amis pilotes quebecois qui etaient sur le voyage organisé par l'APBQ. Semble il que je les ai manque d'une heure.
A SUIVRE
C'est avec plaisir que je vais vous raconter mon voyage.
Comme vous le savez tous l'aeroport de Lachute etait ferme du 9 au 13 septembre pour renovation. Malgre cette fermeture prevue, lors du dernier vol precedant le depart je pris soin de faire le plein d'essence et pendant les renovations j'en profitais pour retirer sieges, dossiers arrieres et proceder au chargement de l'appareil. Comme je decollais le vendredi 13 ( FIOUFFF, je ne suis pas superticieux ) je suivais de tres pres l'evolution des travaux et consultais souvent le notam. Vendredi 13, je suis febrile, mon compagnon de voyage venant de Sherbrooke est arrive chez moi et le notam est toujours en force. A 17:30h je reverifie le notam et surprise, YESSS la piste est reouverte, 15 min plus tard nous sommes en route pour Lachute.
Apres avoir verifier avec le FIC meteo, notam et donner plan de vol on decolle sur un vol de nuit pour Rimouski. L'arrivee a Rimouski etant de nuit se fait sans tambour ni trompette. Bref personne a la reception, c'etait previsible mais ils se sont tres bien reprit le lendemain matin.
Samedi 14 au matin, on fait de nouveau le plein d'essence, encore une fois le FIC et decollage pour Challottetown IPE avec une meteo superbe.
Avis aux interesses il y a des frais de 50$ pour l'appel de service pour l'essence les fin de semaine. A part ce frais, l'accueil a ete tres chaleureux tous s'empressant a nous donner informations et transport pour le motel. Le souper a Charlottetown a ete sur le Victory Row, mignonne rue pleine de terrasses et resto.
Dimanche le 15, encore l'essentiel FIC et decollage pour St Pierre & Miquelon. Selon la meteo prevue, pas de probleme pour le decollage et CAVOK a St-Pierre mais on devra voler une bonne partie du voyage en OTT, ce n'est pas grave, il faut bien qu'elle serve a l'occasion cette qualifitation. A 50mn de St Pierre, comme je suis toujours au dessus de la couche, je communique avec la tour de nos amis francais pour m'enquérir de la meteo et on me confirme que c'est toujours CAVOK, YESSS on continue. Merde alors, a 25mn la tour m'avise de faire rapidement car il y a des bancs de brouillard qui arrivent. Croyez moi, ils entrent tres rapidement, tellement rapidement que arrivé a la vertical de l'aeroport il est deja trop tard. J'ai tourner en rond au dessus de l'aeroport le temps necessaire pour avoir un degagement me permettant de voir les installations, la montagne et la mer. Je ne stressait pas car il me restait 3 hrs de vol dans les reservoirs, suffisamment pour me rendre a Terre Neuve mais j'avoue que j'ai apprecier la capacite des 50gal/us de mes reservoirs. Finallement je me suis poser trop tard pour serrer la main de mes amis pilotes quebecois qui etaient sur le voyage organisé par l'APBQ. Semble il que je les ai manque d'une heure.
A SUIVRE
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c_gbcx
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Aigleca wrote:Pi? La suite? C'est tu la France ou bedon c'est le Québec avec l'accent français de France? Le vin ? Les paysages ? Les gens ?
Paul :D :D
Paul en réponse a ta question, oui c’est bel et bien la France avec leur accent, leur hospitalité, leur Renault, leur Citroën, leur Peugeot, leurs maisons colorées sur d’étroites rues sillonnant les collines. Leur vin donc certain sont inconnus ici n’en sont toutefois pas moins dispendieux.
A la condition d’être avertie au moins deux heures d’avance, le passage a la douane a été quand même simple car après avoir remplis un formulaire et montrer les documents requis aucune fouille n’a été faite malgré le fait que je leur ai déclaré que j’avais à bord dans mon kit de survie une arme a feu. Seule l’enregistrement de l’arme a été demandé en me demandant gentiment de laisser celle ci a bord.
Comme je voyage toujours sans réservation, il ne m’a quand même pas été difficile de trouver un B&B a 50 euros la nuit.
Le lendemain 16 juillet je suis aller en croisière aux Iles de Langlade et de Miquelon. Comme le transport entre les îles se fait avec le St Georges, un magnifique bateau 25 mètres et comme le capitaine constatait que j’avais une certaine expérience en navigation maritime, il me laissa la barre et me remit sa casquette de capitaine. Après un bref briefing, a ma grande surprise malgré la brume très dense, il quitta la timonerie en me laissa seul avec moi-même, le compas et le radar jusqu’a Langlade. La navigation au radar est très similaire a la navigation avec le GPS a la seule différence qu’il apparaît sur le radar non seulement les reliefs mais aussi les autres bateaux. Bref la transition fut facile malgré un tout petit mais agréable 45 minutes d’intense concentration.
Rendu à Langlade j’amenais le bateau près de sa bouée d’ancrage, placa les moteurs aux neutres et lorsque le matelot eut saisi le câble avec sa gaffe je stoppai le bateau en mettent les moteurs légèrement a la renverse. A ce moment la le capitaine arriva me dit qu’il n’avait jamais laissé faire cette manœuvre a aucun capitaine d’un jour. Je ne sais pas s’il a dit cela pour flatter mon ego mais il a réussi, moi qui n’avais jamais navigué du plus gros que 10 mètres.
Rendu sur Langlade un dîner au canard nous attendait suivi d’une visite en autobus des deux îles. A Langlade plusieurs résidents de St Pierre possèdent des résidences secondaires, des roulottes et des jardins sur le bord de la mer et le tout est accessible aux touristes. Les chevaux se promènent librement car ils appartiennent à tous et libre a celui qui désire d’en seller un. Sur Miquelon un arrêt s’impose pour la visite des édifices et l’achat de souvenirs. Sur le chemin du retour l’autobus s’arrête dans les dunes pour le traditionnel lever de verres de fabrication locale.
Bien entendu pour le retour a St Pierre je vous laisse deviner qui a encore fait office de capitaine. J’ai amené le bateau jusque dans le port et rendu près du quai j’ai remis la timonerie au capitane pour l’accostage. Il va sans dire que cette expérience de navigation a comblé ma journée.
Après la croisière, ne pouvant toujours pas décoller à cause du brouillard, une autre nuit suivi d’un autre déjeuner de croissants aux chocolats et/ou au beurre avec un café s’impose car voyez-vous nos amis français ne connaissent pas ça les œufs le matin.
Mardi le 17, très tôt le matin, ciel clair a St Pierre et a St John’s TN mais un autre vol OTT sera encore necessaire, qu’elle est donc pratique cette qualification, je vous encourage fortement a l’acquerir si vous voyagez moindrement.
Malheureusement nous ne pouvons décoller avant 8 hrs car pour ceux qui connaissent la lourdeur administrative du gouvernement français et sachant qu’il y a plus de fonctionnaires au ministère des pêcheries qu’il y a de pêcheurs, contrairement a-nous qui pouvons decoller ou atterrir d’un aeroport meme si la tour n’est pas en operation , nos amis francais ne peuvent décoller ou atterrir d’un aéroport possedant une tour de contrôle si les controleurs n’y sont pas en fonction.
Le vol direction St John’s avec le suivie radar de Gander se déroule sans problème quoi qu’a l’arrivée a St John, a mon grand plaisir la contrôleuse me demande de prolonger mon vent arrière me permettant ainsi de survoler la ville et ses rives très escarpes. Vite on sort la camera.
Le centre ville se situe près du port est très coquet et la vie nocturne y est très active, bref se sont de bons vivants
Pour ceux qui aime bien manger, oublier ça a St John’s a moins que vous aimiez la panure. On peut facilement différencier les touristes des résidents par le tour de taille.
Voilà pour cette étape du voyage, la suite commencera par un décollage précipité de St John’s en VFR spécial
Bye la gang
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c_gbcx
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VFR Spécial.
Ayant en tête avant le coucher que la météo prévue pour St John’s sera exécrable pour les jours a venir, le matin du 19, étant très chaud et très humide dans le B&B je me réveille très tôt. Je sors dehors, j’examine le ciel qui ne me semble pas si vilain que ça. Je consulte le FIC qui me confirme qu’a St John’s ça va se boucher dans les heures qui suivent et que plus tard la pluie commencera à Lourde de Blanc sablon. Bref si on fait vite, ça passe, je réveille mon compagnon, on oublie le déjeuner cinq étoiles a l’Anglaise, on saute dans un taxi et vite a l’aeroport.
Le plein est déjà fait, les préparatifs de départ complétés, je démarre le moteur et communique avec la tour qui me mentionne que les conditions viennent de changées de VFR a IFR. Pas de temps a perdre, je demande un décollage et une sortie de zone en VFR spécial ce qui m’est accordé. Le décollage s’effectue et il était temps car pour les 10 premiers MN le vol se fera 800 pi sol le temps de pouvoir graduellement monter à 3500pi MSL et ce pour tout le reste de la traversée de l’île de Terre Neuve.
J’ai survoler Gander et vue les multiples iceberg de la cote Est. Malheureusement aucunne des photos prisent n’ont été réussie alors ne me demander pas de preuve. En approche de Lourde de Blanc Sablon on voit clairement le mur de pluie s’approchant et le plafond diminuant. En entrant dans le corridor Blanc Sablon/Sept-Îles je communique avec le FIC qui me donne les informations pour atterrissage. La raison d’être de ce corridor est le fort volume du trafic aérien dans cette région et croyez moi il est très justifier.
En vent arrière les ailes sont sèches, en base elles sont humide et en finale c’est le torrent. Le FIC avait raison, ça passait mais de justesse.
Je croyais que le plus beau de mon voyage était derrière moi mais non, mon compagnon de vol étant originaire de La Romaine sur la Haute Cote Nord, à mon insu le plus intéressant restait à suivre.
Tous les villages de la Haute Cote Nord, étant petit et ayant tous leur cachet particulier, je me contenterai de parler de ceux ou je me suis posé.
Lourde de Blanc Sablon. Magnifique petit village situé sur la frontière du Labrador juste au sud du détroit de Belisle et ce a 20 mn de Terre Neuve.
Vivant de la pêche ou de ce qu’il en reste j’ai été accueillie par un ami d’enfance de Gaétan. Au menu, langues et filets de morue fraîchement pêcher. Miam, Miam. Dans la soirée je suis aller me promener et je me suis procurer un T-Shirt souvenir. PS : L’hélico de Pêche et Océan était garé sur la plage a à peine 100 mètres de mon hôte.
Le lendemain matin, vendredi le 20 la météo s’annonçant bien, on décolle pour un vol de Blanc Sablon jusqu’a La Romaine mais encore avec une portion OTT. A mi-chemin les conditions a La Romaine ne permettent plus un atterrissage pas plus qu’un retour possible a Blanc Sablon. On est dans la merde mais c’est comme ça la Cote Nord. La solution trouver une percée pour se poser à Chevery. A 10 mn de Chevery cette percée miraculeuse apparaît. Il faut faire vite, on profite de celle ci pour redescendre sous la couche et avec l’aide du GPS et de mon compagnon connaissant très bien la topographie de la région on survole les caps de roches a 200 pieds sol jusqu'à l’aeroport. Que voulez-vous, il y a des situations ou l’on ne peut toujours faire légal. Il va sans dire que les passagers d’un vol commercial en attente d’un décollage a Chevery ont du remettre leur voyage.
Croyez le ou non, Gaétan y a encore des connaissances et ce fut une autre occasion de festoyer. Souper avec comme entrée un demi-homard et comme menu principal un bon steak d’orignal suivie dans la soirée du dessert. Ce fut une très agréable soirée a causer.
Le lendemain, une autre invitation a dîner chez un autre ami de Gaétan et encore du homard fraîchement cueilli. Ce qu’ils savent bien manger les gens de la Cote Nord.
A Suivre.
JP de Blainville
Ayant en tête avant le coucher que la météo prévue pour St John’s sera exécrable pour les jours a venir, le matin du 19, étant très chaud et très humide dans le B&B je me réveille très tôt. Je sors dehors, j’examine le ciel qui ne me semble pas si vilain que ça. Je consulte le FIC qui me confirme qu’a St John’s ça va se boucher dans les heures qui suivent et que plus tard la pluie commencera à Lourde de Blanc sablon. Bref si on fait vite, ça passe, je réveille mon compagnon, on oublie le déjeuner cinq étoiles a l’Anglaise, on saute dans un taxi et vite a l’aeroport.
Le plein est déjà fait, les préparatifs de départ complétés, je démarre le moteur et communique avec la tour qui me mentionne que les conditions viennent de changées de VFR a IFR. Pas de temps a perdre, je demande un décollage et une sortie de zone en VFR spécial ce qui m’est accordé. Le décollage s’effectue et il était temps car pour les 10 premiers MN le vol se fera 800 pi sol le temps de pouvoir graduellement monter à 3500pi MSL et ce pour tout le reste de la traversée de l’île de Terre Neuve.
J’ai survoler Gander et vue les multiples iceberg de la cote Est. Malheureusement aucunne des photos prisent n’ont été réussie alors ne me demander pas de preuve. En approche de Lourde de Blanc Sablon on voit clairement le mur de pluie s’approchant et le plafond diminuant. En entrant dans le corridor Blanc Sablon/Sept-Îles je communique avec le FIC qui me donne les informations pour atterrissage. La raison d’être de ce corridor est le fort volume du trafic aérien dans cette région et croyez moi il est très justifier.
En vent arrière les ailes sont sèches, en base elles sont humide et en finale c’est le torrent. Le FIC avait raison, ça passait mais de justesse.
Je croyais que le plus beau de mon voyage était derrière moi mais non, mon compagnon de vol étant originaire de La Romaine sur la Haute Cote Nord, à mon insu le plus intéressant restait à suivre.
Tous les villages de la Haute Cote Nord, étant petit et ayant tous leur cachet particulier, je me contenterai de parler de ceux ou je me suis posé.
Lourde de Blanc Sablon. Magnifique petit village situé sur la frontière du Labrador juste au sud du détroit de Belisle et ce a 20 mn de Terre Neuve.
Vivant de la pêche ou de ce qu’il en reste j’ai été accueillie par un ami d’enfance de Gaétan. Au menu, langues et filets de morue fraîchement pêcher. Miam, Miam. Dans la soirée je suis aller me promener et je me suis procurer un T-Shirt souvenir. PS : L’hélico de Pêche et Océan était garé sur la plage a à peine 100 mètres de mon hôte.
Le lendemain matin, vendredi le 20 la météo s’annonçant bien, on décolle pour un vol de Blanc Sablon jusqu’a La Romaine mais encore avec une portion OTT. A mi-chemin les conditions a La Romaine ne permettent plus un atterrissage pas plus qu’un retour possible a Blanc Sablon. On est dans la merde mais c’est comme ça la Cote Nord. La solution trouver une percée pour se poser à Chevery. A 10 mn de Chevery cette percée miraculeuse apparaît. Il faut faire vite, on profite de celle ci pour redescendre sous la couche et avec l’aide du GPS et de mon compagnon connaissant très bien la topographie de la région on survole les caps de roches a 200 pieds sol jusqu'à l’aeroport. Que voulez-vous, il y a des situations ou l’on ne peut toujours faire légal. Il va sans dire que les passagers d’un vol commercial en attente d’un décollage a Chevery ont du remettre leur voyage.
Croyez le ou non, Gaétan y a encore des connaissances et ce fut une autre occasion de festoyer. Souper avec comme entrée un demi-homard et comme menu principal un bon steak d’orignal suivie dans la soirée du dessert. Ce fut une très agréable soirée a causer.
Le lendemain, une autre invitation a dîner chez un autre ami de Gaétan et encore du homard fraîchement cueilli. Ce qu’ils savent bien manger les gens de la Cote Nord.
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