CEST NOUVEAU CETTE MANIÈRE DE FAIRE??? on s’entend que Joliette y’a pas trafic en rapport à l’ancienne Mascouche
Si vous avez plus information et la fréquence de cette nouvelle procédure j’aimerais bien être informé.
Merci
Léo


Pas vrai les comm à CSG3 c’est 123,5.léo wrote:Le week-end passé à l’aéroport de Joliette j’ai été surpris de me faire informer d’utilisé une autre fréquence autre que ATF:123.5 pour le radio check pour pas encombré les comle pilot de lourde de Joliette (parachute) m’a informé que c’était dans le CAR, j’ai pas trouvé la fréquence que l’on doit prendre? c’est pas inscrit dans le CFS!!
CEST NOUVEAU CETTE MANIÈRE DE FAIRE??? on s’entend que Joliette y’a pas trafic en rapport à l’ancienne Mascouche![]()
Si vous avez plus information et la fréquence de cette nouvelle procédure j’aimerais bien être informé.
Merci
Léo





Bon à savoir mais le point est : "est-ce que c'est interdit de faire un radio check sur la fréquence de l'aéroport où on se trouve ?" Comme Léo le demande, est-ce qu'il est écrit quelque part qu'on n'a pas le droit de le faire.abud wrote:Le radio check peu se faire sur 126.7 ou avec la FIC de québec avec la fréquence qui spécifique pour la région de Joliette.



Il n'y a aucun problèmes Martine a faire une vérification radio sur la fréquence d’aéroport ou tu est. La partie en gras plus bas pourrait expliquer pourquoi il a dit ca. Il croit que la frequence leur est reserver.??Zico wrote:Bon à savoir mais le point est : "est-ce que c'est interdit de faire un radio check sur la fréquence de l'aéroport où on se trouve ?" Comme Léo le demande, est-ce qu'il est écrit quelque part qu'on n'a pas le droit de le faire.abud wrote:Le radio check peu se faire sur 126.7 ou avec la FIC de québec avec la fréquence qui spécifique pour la région de Joliette.
A Brockville, ça se fait régulièrement. Bon, je sais, Brockville n'est pas très achalandé.
Martine




Je ne suis pas d'accord sur ce point.Outlaw58 wrote:il est trivial de confirmer la réception de la radio et une panne de transmission se manifesterait très rapidement aussi, rendant la vérification radio au sol superflue.
Pour avoir constaté le rayonnement des rapports de positions de Lourdes de Joliette, je n'ai aucun doute que la fréquence peut être occupée.Outlaw58 wrote: Si vous en doutez, montez a 13 500', altitude a laquelle le largage des parachutistes est effectué. Vous allez entendre clairement les transmissions non seulement de Joliette, mais aussi celles de la zone d'entraînement de Quebec, des aéroports St-Lazarre et Les Cèdres, de l'aéroport de Sherbrooke et aussi celle de l'aéroport de Rockliffe.

Drapo, je ne suis pas allé a Mirabel en 2017. Par contre je peux dire que pour avoir discuter de cette question a mainte reprise avec mes collègues chez Voltige, je peux t'affirmer que l'intention a mal été comprise. L'argument est tel que je l'ai élaboré dans mon post précédent. Nous ne faisons qu'avancer que cette verification radio est superflue et lors de période de haut traffic, rends difficile les operations de parachutisme a Lourdes, et a l'extreme, peut mettre en peril la sécurité de parachutistes et aviateurs.drapo wrote:Je me rappelle d'une session d'information à Mirabel, voilà environ 2 ans, où un pilote de parachutistes, basé à Lourdes de Joliette, avait expliqué ce concept de ne pas faire de test radio sur 123.5 à CSG3 aux pilotes présents. J'étais intervenu pour lui faire remarquer que c'était la fréquence ATF, mais il soutenait que ces «nombreux» tests radio nuisaient à son opération à CSE3 et que les tests devraient se faire autrement. Ça ne tient pas la route, c'est certain que ça peut être dérangeant, mais il y a une raison pour laquelle ces deux aéroports utilisent la même fréquence et c'est la proximité de leur espace aérien. CST3 et CSS3 vivent la même situation et on peut sûrement ajouter quelques autres aéroports à cette liste. Lors de cette session, le pilote avait aussi mentionné qu'il utilisait seulement 123.5 pour ses rapports, même en montée, à l'extérieur de son ATF et de sa zone (CYA). J'ai pu vérifier ce fait lors d'un récent vol vers CYQB à 9500' à l'écart de cette zone, au-dessus de UFX (St-Félix de Valois) j'ai vu apparaître cet avion en montée. J'ai transmis ma position et intention sur 126.7 et n'ai reçu aucune réponse, j'ai alors transféré sur 123.5 et, voilà, le pilote transmettait ses intentions en montée de 7500'... Je ne sais pas si c'est généralisé chez cette compagnie, mais la sécurité en vol réside dans le fait que tous suivent les procédures établies il faut donc faire attention quand on improvise des procédures locales, radio ou autres.
De plus, faire le test radio sur 126.7 ne ferait que déplacer le problème vers une fréquence encore plus congestionnée et, pour éclairer certains, 126.7 n'est plus nécessairement écouté par les FSS ou CIV, il y a maintenant des fréquences régionales qui permettent de les contacter comme 123.55 dans la région de Montréal. Finalement, il y a toujours un problème de ligne de vision avec les fréquences VHF, au sol à Joliette, il serait probablement impossible de contacter le CIV sur 123.55 pour votre test radio!

Voir mon post precedent ref 4.2.3 Radio checksattitude wrote:Je ne suis pas d'accord sur ce point.Outlaw58 wrote:il est trivial de confirmer la réception de la radio et une panne de transmission se manifesterait très rapidement aussi, rendant la vérification radio au sol superflue.
On ne demandera pas d'essais radio si on entre en contact avec le sol ou une tour autre parce que les réponses confirme la réception radio bilatérale, ce qui n'est pas le cas sur un ATF. Si je m'annonce à Joliette que je prend position pour un décollage et n'ai pas vu l'appareil en courte finale, je n'ai aucun moyen de me rendre compte que mon sélecteur était sur la mauvaise radio avant de faire une incursion de piste. Ces vérifications radios sont très pertinentes selon-moi.
N'oubliez pas que l'avion est peut-être a 13500 pi, mais les parachutistes eux vont occuper pendant leur descente tout l'espace au dessus de l'aéroport, entre 13500 et le sol pendant près de 5 minutes. Ils n'ont aucun moyen de signaler leur presence aux appareils avoisinant et c'est la responsabilité du pilote largueur d'assurer la stérilité de cet espace. Cela ce fait sur 123,5 en premier et si la situation l'exige, le pilote le fera aussi sur 126,7.Pour avoir constaté le rayonnement des rapports de positions de Lourdes de Joliette, je n'ai aucun doute que la fréquence peut être occupée.Outlaw58 wrote: Si vous en doutez, montez a 13 500', altitude a laquelle le largage des parachutistes est effectué. Vous allez entendre clairement les transmissions non seulement de Joliette, mais aussi celles de la zone d'entraînement de Quebec, des aéroports St-Lazarre et Les Cèdres, de l'aéroport de Sherbrooke et aussi celle de l'aéroport de Rockliffe.
Je me rend cependant compte que le problème de fond est probablement que cette opération de parachutiste utilise une fréquence utilisée pour des ATF (typiquement max 3000'AGL) pour des opérations à 13500'.
Aussi, pourquoi s'annoncer à 13500' sur l'ATF qui se termine à 3400' alors que les traffics environnents seront probablement sur 126.7 ou avec le terminal? Est-ce qu'un relais via un Unicom à Lourdes de Joliette pourrait retransmettre les informations de l'ATF en respectant les altitudes typiques d'ATF pour éviter cette pollution des ondes?

Outlaw58 wrote: Le RAC dit bien que cette verification, effectué dans la mesure du possible sur fréquence AUTRE que ATS, n'est effectué que si jugée nécessaire.
4.2.3 Radio Checks
If required, radio checks should, wherever possible, be requested on frequencies other than ATC frequencies (see COM 1.11 for readability scale). Normally, the establishment of two-way contact with an agency is sufficient to confirm that the radios are functioning properly.

SVP, distinguer ATS/ATC de ATF. Déranger un ATC/FSS vs utiliser l'ATF d'un aérodrôme, c'est bien différent.Outlaw58 wrote:Le RAC dit bien que cette verification, effectué dans la mesure du possible sur fréquence AUTRE que ATS, n'est effectué que si jugée nécessaire.
J'avais bien pigé que les parachutistes occuperait cet espace pendant la descente, d'où mon point d'utiliser un relais terrestre via un unicom pour transmettre ces informations dans l'ATF au lieu de couvrir une bonne partie du Québec et de l'Ontario à 13500'.Outlaw58 wrote:N'oubliez pas que l'avion est peut-être a 13500 pi, mais les parachutistes eux vont occuper pendant leur descente tout l'espace au dessus de l'aéroport, entre 13500 et le sol pendant près de 5 minutes. Ils n'ont aucun moyen de signaler leur presence aux appareils avoisinant et c'est la responsabilité du pilote largueur d'assurer la stérilité de cet espace. Cela ce fait sur 123,5 en premier et si la situation l'exige, le pilote le fera aussi sur 126,7.

Personne ici n'a suggéré de changer aucune règle (je viens de relire mes posts). Je cherche encore ou quelqu'un s'est plein qu'un gars qui transitait a plus de 10 milles a plusieurs milliers de pieds écoutait pas 123,5. Il est le moindre de mes soucis.drapo wrote:J'ai déjà écrit une ou deux chroniques à ce sujet et je mettais justement en garde les pilotes de se tenir à l'écart des zones de parachutage et d'écouter les fréquences affectées, que ce soit dans les CYA, les ATF ou lorsqu'un symbole annonçant l'activité apparaît sur l'aéroport. Mais on ne peut changer les règles et demander aux pilotes transitant à plus de 10 milles d'un aéroport et au-dessus de l'ATF de plusieurs milliers de pieds d'être à l'écoute de l'ATF parce que localement on décide qu'on fonctionne ainsi...

J'aime la ligne de pensée, pas bête.attitude wrote:Je sais que vous n'avez pas de contrôle direct sur la fréquence d'ATF établie par Industrie Canada, mais en même temps, utiliser des fréquences typiquement attribuées à des ATF (max ±3500AGL) ne me semble pas idéale pour des opérations à 13500'. Je me questionne simplement si l'opérateur pourrait revoir ses procédures pour minimiser l'utilisation de 123.5 dans l'avion largueur au dessus de l'ATF et ainsi réduire les impacts reliés à l'utilisation de cette fréquence dans d'autres ATF.