Fidel Castro

Traduction par Google : J'ai rencontré une dame, une québécoise, il y a de ça mille ans. Je n'ai pas le droit de vous dire si c'est elle qui est venue ici, à Cuba, ou si c'est moi qui avait voyagé. Je n'étais même pas encore le chef de la révolution. J'avais vingt ans, et elle aussi. On s'est aimé. On a du se quitter. Elle était déjà mariée. Je viens d'apprendre qu'elle a eu un fils de moi. Je vois approcher la mort, et je veux enfin le connaitre. Il doit me ressembler j'imagine. Physiquement. Et même de caractère. Si vous connaissez quelqu'un de révolutionnaire, d'insoumis, prêt à se battre contre les plus grandes puissances ou les assurances, très dictateur, tête dure, qui ne change jamais d'idée même si il a tord pendant cinquante ans, capable de faire des discours qui dure pendant des heures et des heures, alors regardez le dans les yeux, et posez vous la question si il me ressemble. Si vous trouvez mon fils, j'offre une récompense. Une semaine dans un tout-compris à Cuba. Et dites lui que mon frère commence à être fatigué lui aussi, et qu'on aurait bien besoin d'un plus jeune pour prendre la tête du pays.
Fidel Castro









