Pour revenir à l'idée de l'utilisateur payeur, dans le cadre de SAR "privatisé", c'est possible qu'avec une région ciblée, une grande affluence de clientèle utilisatrice, un loi qui oblige les 'utilisateurs de souscrire à une assurance collective pour l'utilisation d'un territoire. Comme dans certaines régions des Alpes. Vous voulez skier à Val d'Isère ? Comme des dizaines de milliers de skieurs, vous serez cotisés à une assurance qui permet le sauvetage par hélice. L'hélico sauve toute la journée. On la voit repartir aux 15 minutes aller chercher quelqu'un qui s'est pété une jambe ou un bras. Le suavetage prend autour de 5 minutes. Le prix de l'assurance est très abordable. Normal, l'hélico travaille dans un environnement très limité: une simple montagne de ski alpin. Elle n'offre que le service d'aller chercher le blessé et de le redescendre. Un voyage de moins de un kilomètre. Rien du tout. Elle le dépose en bas et il est pris en charge par une ambulance. Elle a beau travailler toute la journée, elle ne ramène finalement qu'un tout petit pourcentage de skieurs. Ils sont des milliers et des milliers débarquant d'autobus bondés pour les vacances neiges en congé d'une région après l'autre.
Rien à voir avec l'immensité de notre territoire de jeu de ce côté çi et de la faible affluence d'utilisateurs.
L'islande qui est un tout petit pays, peut-être 250 mille personnes, à peine la population d'une petite banlieue d'ici, à un systèeme intéressant. Ils ont un genre de 4% sur les salaires. Chaque employeur doit pouvoir libérer quelques personnes en cas de sauvetage. Des jeunes, et des moins jeunes, qui s'entrainent au sauvetage. Pour l'équipement, les contracteurs sont toujours prêts à pr^ter un buldozer ou deux si le besoin y est. Un systèeme qu'ils ont mis en place il y a mille ans. C'est une petite île, une île de marins et de pêcheurs. L'entraide en cas d'accident a toujours été le fort des insulaires. J'en ai profité plus qu emon dû. Quinze jeunes m'ont été dépêché pour venir m'aider quand j'ai du sortir mon avion pété sur une île de l'Islande. Des amours. j'ai du chercher fort pour trouver un moyen de les remercier car ils ne voulaient aucunement que je participe au frais. Et tout ça dans la bonne humeur et le sourire. Des amours, les Islandais.
Louis
