avion en difficulté - La Bostonnais
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skymarc
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Tres triste quand ca implique un jeunes, RIP.
Jai jamais aimer embarquer des jeunes dans le 5e et 6e siege de mon C185 sur flottes pour cette raison. Pratiquement impossible de sortir des passagers en passant pardessus la 2 e ranger de sieges. Surtout que souvant on a aussi des bagages. Cest la que le belly pod a ca place mais je lai jamais utiliser sur flottes, juste sur roues et skis.
Air Tamarack a deja eu un crash sur un C185 voila 3-4 ans dans la region de Mt Laurier / St Michel des Saints? je me rappelle d avoir vu l avion en reconstruction chez BL Aviation, est ce la meme?
Jai jamais aimer embarquer des jeunes dans le 5e et 6e siege de mon C185 sur flottes pour cette raison. Pratiquement impossible de sortir des passagers en passant pardessus la 2 e ranger de sieges. Surtout que souvant on a aussi des bagages. Cest la que le belly pod a ca place mais je lai jamais utiliser sur flottes, juste sur roues et skis.
Air Tamarack a deja eu un crash sur un C185 voila 3-4 ans dans la region de Mt Laurier / St Michel des Saints? je me rappelle d avoir vu l avion en reconstruction chez BL Aviation, est ce la meme?
- Jacques3012
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Le pilote est jeune mais ça veut rien dire, il pouvais avoir plusieurs centaines d'heures d'expérience.
C'est un problème moteur selon les nouvelles, il faisait chaud cette journée la, rien pour l'aider et il à probablement essayer de se rendre au dessus de l'eau pour s'y poser et il à malheureusement décroché juste avant.
Selon ce qu'on voit à la télé concernant l'environnement autour du cours d'eau, aurait-il eu décès ou blessures graves si l'avion serait tombé dans les arbres qui semblent assez fournis au lieu de tomber dans l'eau :?: :?:
Jacques3012
C'est un problème moteur selon les nouvelles, il faisait chaud cette journée la, rien pour l'aider et il à probablement essayer de se rendre au dessus de l'eau pour s'y poser et il à malheureusement décroché juste avant.
Selon ce qu'on voit à la télé concernant l'environnement autour du cours d'eau, aurait-il eu décès ou blessures graves si l'avion serait tombé dans les arbres qui semblent assez fournis au lieu de tomber dans l'eau :?: :?:
Jacques3012
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merlin2340
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Quand j'avais mon 185, il y avait en effet un siège pour embarquer des enfants à l'arrière, mais je l'ai jamais installé, l'ancien propriétaire ne l'avait pas installé lui non plus puisque ce siège était neuf.
Personnellement je considère que ça pas de sens d'avoir un siège à cet endroit puisque c'est presque impossible de sortir en cas de problème, c'est déjà assez compliqué comme ça d'évacuer sous l'eau.
Mes sympathies aux familles.
Steeve
Personnellement je considère que ça pas de sens d'avoir un siège à cet endroit puisque c'est presque impossible de sortir en cas de problème, c'est déjà assez compliqué comme ça d'évacuer sous l'eau.
Mes sympathies aux familles.
Steeve
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denimich
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Jacques3012 wrote:....., aurait-il eu décès ou blessures graves si l'avion serait tombé dans les arbres qui semblent assez fournis au lieu de tomber dans l'eau :?: :?:
Jacques3012
Je me suis posé la même question Jacques :?: Difficile à dire. Mais toutefois je crois que le pilote a probablement tout fait ce qu'il pouvait selon ses connaissances et les circonstances qu'il avait devant lui à ce moment là.
Sympathies à la famille de l'enfant décédé.
Denis
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damien
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Un 185, c'est un "pick-up aérien". C'est un 4 places avec du chargement. On ne met pas une troisième rangée de siège dans un pick-up.
Le 206 est plus approprié quoique sans la modif de la porte côté passagers, avec volets, impossible de sortir de ce côté en cas d'urgence.
D'accord aussi que l'âge n'a rien à voir, auriez-vous fait mieux ? Il a fait tout ce qu'il pouvait dans la situation à gérer. Mes respects au pilote (nous sommes avec toi) et sympathie à la famille.
Damien
Le 206 est plus approprié quoique sans la modif de la porte côté passagers, avec volets, impossible de sortir de ce côté en cas d'urgence.
D'accord aussi que l'âge n'a rien à voir, auriez-vous fait mieux ? Il a fait tout ce qu'il pouvait dans la situation à gérer. Mes respects au pilote (nous sommes avec toi) et sympathie à la famille.
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Theo007
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Mes sympathies aux familles. :cry:
Bravo au Pilote et au témoin (ex militaire) qui ont sorti la petit fille
On peut toujours dire ,, J'aurais fait si, il aurait due faire ca... mais quand tu es dans la peau du gars tu fais ce qui reste à faire avec l'accident qui vienr d'arriver...
Theo (qui aurait du choisir le 02 08 28 29 34 44 au 6/49 du 13 juillet dernier)
Bravo au Pilote et au témoin (ex militaire) qui ont sorti la petit fille
On peut toujours dire ,, J'aurais fait si, il aurait due faire ca... mais quand tu es dans la peau du gars tu fais ce qui reste à faire avec l'accident qui vienr d'arriver...
Theo (qui aurait du choisir le 02 08 28 29 34 44 au 6/49 du 13 juillet dernier)
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Pluc
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Texte plus complet ici :
http://www.cyberpresse.ca/le-nouvellist ... itable.php
:(
http://www.cyberpresse.ca/le-nouvellist ... itable.php
L'auteur, Alain Glanzmann, habite la Suisse. Il a perdu son fils Luca, 8 ans, dans l'écrasement d'un hydravion survenu dans la région de La Tuque, le 18 juillet dernier.
Des vacances programmées depuis de nombreux mois, un rêve d'enfant qui allait se réaliser. Voilà en deux mots les sentiments que j'avais avant de boucler les valises ce vendredi matin 15 juillet. Nous sommes en Suisse, à Lutry, près de Lausanne.
Je suis accompagné de mon épouse Olga, de mon fils Luca 8 ans, et de ma nièce Marie, 12 ans. Notre itinéraire de voyage a été minutieusement préparé. Plusieurs activités ont été réservées tout au long de notre périple, notamment un survol de 20 minutes en hydravion de la région de La Tuque.
Peu de temps après notre arrivée au bureau de la compagnie Air Tamarac, on entend le moteur d'un avion qui s'approche puis qui se pose devant nous. Immobilisé quelques mètres en contrebas, la porte s'ouvre et le pilote sort de son appareil accompagné de deux touristes également suisses. Rapidement, il les salue et se dirige vers nous.
Ma femme et moi sommes frappés par son jeune âge. Il nous salue sommairement et nous invite tout de suite à le suivre vers son appareil. Un petit hydravion, juste assez grand pour nous accueillir, mais amplement suffisant au bonheur des enfants.
Le pilote invite Marie à s'asseoir au fond de l'appareil. Il attache sa ceinture puis me demande de prendre place à l'avant de l'appareil. Il attache également ma ceinture, puis place mon fils Luca et ma femme sur les deux sièges derrière moi. Les ceintures de sécurité sont bouclées par ses soins.
Enfin, il prend place dans l'avion. Le moteur enclenché, on avance doucement sur la rivière. Un regard furtif par-dessus mon épaule pour apercevoir les enfants ivres de bonheur. C'est magique! Ma femme est par contre préoccupée, mais garde ses sentiments pour elle, afin de ne pas briser cette euphorie.
C'est parti! Nos flotteurs quittent l'eau et nous nous élevons dans les airs. Le paysage est encore plus magique là-haut Pas un nuage à l'horizon, juste le soleil et le ciel bleu turquoise. Pas nécessaire de me retourner pour sentir la joie des enfants.
Mais quelque chose me dérange. Je sens le pilote extrêmement nerveux, sa main droite étant toujours agrippée à la jointure métallique au milieu du pare-brise. Ses explications sur le paysage sont très sommaires, il a le visage tendu.
Après dix minutes de vol, tout s'accélère. Les gestes du pilote deviennent de plus en plus nerveux, son regard est fixé vers l'horizon et le bruit du moteur diminue subitement. L'avion perd rapidement de l'altitude. Un regard en arrière vers ma femme qui a compris ce qui se passait. Moi pas encore, j'essaie en une seconde de la rassurer. Pourquoi? Simplement parce que le pilote n'a rien dit
Nous continuons à perdre de l'altitude, de plus en plus vite. Je regarde ma montre et me dit que les 20 minutes prévues sont bien courtes Le pilote ne dit toujours rien Les enfants eux, pensent que le pilote leur fait un petit tour de «manège», ils adorent et rient aux éclats. Mais oui, ma femme avait raison, nous tombons
Nous passons juste au-dessus des arbres qui bordent une rivière. Une seconde après, le pilote entreprend un virage serré à gauche. Les premiers mots du pilote sortent enfin de sa bouche sous la forme d'un cri dont personne ne comprend le sens L'avion pique du nez et frappe la rivière. En une seconde, le paradis s'est transformé en enfer.
Sous la violence du choc, l'avion se retourne instantanément. L'eau envahit le cockpit très rapidement. Avant d'être submergé dans ces eaux foncées, j'entends les cris de ma femme «mon Dieu, mon Dieu «. Je me retrouve la tête à l'envers, dans des eaux foncées, attaché par une ceinture que je n'ai pas fermé moi-même et dont je ne connais pas le système d'ouverture.
C'est alors que quelqu'un m'attrape par mon t-shirt et tente de me tirer hors de l'appareil. Sans succès, puisque je suis toujours attaché. C'est le pilote qui a réussi à se libérer. Sentant qu'il est impossible de me sortir de l'appareil, il me lâche et remonte en surface. C'est alors que la présence des enfants dans cette carcasse submergée m'interdit de mourir ici. Je m'accroche avec mon bras droit sur je ne sais quoi et tire tant et plus pour m'extraire de ma ceinture. Je continue encore et encore pour finalement réussir à me libérer sans ouvrir ma ceinture, puis à rejoindre la surface.
À bout de souffle, je découvre le pilote accroché à l'un des flotteurs de l'appareil les yeux dans le vide. Je lui crie qu'il faut aller chercher les enfants Il disparaît instantanément sous l'eau, mais remonte deux secondes plus tard. J'ai alors compris que je ne pouvais pas compter sur lui J'ai donc replongé pour essayer de localiser les enfants et de les remonter à la surface.
Je refais surface et je vois ma femme agrippée à la carcasse de l'avion qui implore le pilote, «sauvez nos enfants, je vous en supplie, sauvez nos enfants». Elle crie également à l'aide en indiquant que nos enfants sont prisonniers de l'appareil sous l'eau. Par chance, un homme de l'autre côté de la rivière, large d'une vingtaine de mètres, entend ses cris et plonge sans hésitation dans ces eaux hostiles pour nous venir en aide.
Ses cris décuplent mes forces. Alors je plonge encore dans ces eaux foncées afin de trouver les enfants. Je sais que nous devons les sortir au plus vite de l'eau, sans quoi leurs chances de survie seront nulles.
À chaque fois que je remonte à la surface, j'entends ma femme qui crie, qui implore le pilote de nous indiquer où se trouvent les portes de l'appareil, de m'indiquer où plonger, mais ce dernier reste muet et répétera toujours la même phrase en boucle, «je ne peux pas plonger, je n'ai pas de souffle».
Ma femme ne sait pas nager, elle a peur de l'eau. Impossible pour elle de plonger dans cette rivière. Mais elle a fait mieux, beaucoup mieux. Alors que mes espoirs les plus fous de retrouver les enfants s'amenuisaient, elle me dit avoir touché Marie avec son pied. Chose impossible, puisqu'elle se trouve agrippée sur l'appareil.
Pas une seconde d'hésitation, je plonge selon ses indications et je peux accéder dans l'appareil par ce que je crois être une fenêtre cassée et trouve alors Marie. Je la remonte tout de suite en surface. C'est un miracle.
Elle sera prise en charge par l'homme qui est venu de l'autre rive. Ce héros réussira à la réanimer après une immersion de 4 à 5 minutes dans l'eau. C'est encore un miracle. Moi, je plonge encore à la recherche de Luca.
Je finis enfin par trouver mon fils dans la cabine de l'avion. Malheureusement, plus de 8 minutes se sont écoulées. Des policiers arrivés sur les lieux ont traversé la rivière à la nage et viennent nous aider dans nos opérations de secours. Ils m'aident à hisser Luca sur le flotteur et nous lui prodiguons tout de suite les premiers secours. Encouragé par les «grognements» de Marie qui se bat pour vivre et les cris de ma femme, je lui prodigue le bouche à bouche, une deuxième personne lui effectuant un massage cardiaque.
Nous avons continué les premiers secours à Luca, tout en traversant la rivière à la nage afin d'amener mon enfant sur l'autre berge où l'ambulance allait arriver. Accompagné des policiers, jamais nous n'avons renoncé, mais malheureusement en vain. Mon fils tellement à l'aise dans l'eau et mort noyé La vie de notre fils nous a été enlevée.
Marie a survécu, son héros l'a réanimée, puis sa volonté de vivre a fait le reste. Elle est magnifique, un exemple pour tous Mon épouse. Sans ses cris, le sauveur de Marie ne serait peut-être pas venu nous apporter son aide précieuse. Comment aurait-il pu savoir que des enfants étaient encore coincés sous l'eau? Ses mêmes cris m'ont donné l'énergie et le courage nécessaires pour replonger à plusieurs reprises alors que j'étais épuisé.
C'est encore mon épouse qui m'a indiqué le chemin pour récupérer Marie. Comment? Je n'ai pas la réponse. Mais quand elle me dit qu'elle aurait dû mourir à la place de son fils, qu'elle ne sait pas nager et qu'elle a la vie sauve, je lui réponds que sans elle, Marie ne serait aujourd'hui probablement pas à nos côtés. Merci Olga. Tu as été une mère exemplaire. Tu as été notre fil conducteur à tous.
Depuis l'accident, je n'arrive pas à m'expliquer que ce jeune pilote diplômé avait la responsabilité de quatre passagers sans pour autant communiquer les directives avant le départ quant aux mesures à prendre en cas d'urgence, sans communiquer aux passagers les mesures à prendre au moment où il sentait la situation critique et sans avoir les compétences pour plonger et porter secours alors qu'il est aux commandes d'un hydravion.
S'agit-il d'une formation technique à revoir ou d'une réaction de panique dans un contexte dramatique? Je n'ai pas la réponse. Marie, Olga et moi allons vivre le restant de nos jours avec le souvenir de cette catastrophe. Avec une question qui restera toujours sans réponse. La mort de Luca aurait-elle pu être évitée?
Nous espérons vivement que la mort de Luca puisse provoquer des modifications dans la réglementation actuelle pour le transport des passagers en hydravion d'une part, et l'amélioration de la formation des pilotes au sauvetage de personnes en lac et rivière d'autre part. Il faut que cela change! Luca ne doit pas être mort pour rien.
:(
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Kigro
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Pas de briefing passager sa ne passe pas.
J'ai un ami qui fait des tours au lac a la tortue des petits tours de 15 minute aussi et il prend le temps de faire un briefing passager avant au moin..
Meme en étant pressé et en retard sur l'horaire le pilote n'aurais jamais du attacher la ceinture et donner aucune consigne....
J'ai un ami qui fait des tours au lac a la tortue des petits tours de 15 minute aussi et il prend le temps de faire un briefing passager avant au moin..
Meme en étant pressé et en retard sur l'horaire le pilote n'aurais jamais du attacher la ceinture et donner aucune consigne....
- doloair
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Je viens tout juste de finir de le lire ''' que c est donc une triste histoire :!: :!: :cry: :cry: On voudrais tellement pas que ça arrive des choses comme ceux là :!: Autant pour les parents que pour le pilote :!: Mais entre nous a part consolé ceux qui reste je ne crois pas que c est essentiel de blamé qui que ce soit :? .bref je ne veux pas m éternisé a expliqué ce qui n est pas explicable ....
Sympathie aux parents....vole en paix petit Luca
Dolorès :cry: :wink:
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- fyby
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Theo007 wrote:On connais juste la version du touriste Suisse,,,
il y a toujours 2 cote de la medaile...
C'est triste comme situation mais je me dit que les 5 ne sont pas mort...
Si le pilote était mort on pourrait moins le blamer
Il y a toujours une facon de voir ca qui est plus positif
:roll:
Theo
T'as raison Théo,deux cotés à la médaille,ce malheureux accident n'aurait pas dû arriver,mais le pauvre pilote il peut dire quoi lui.
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bushpilot-180
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En quoi un breifing de securité de 2 minutes et quart aurait changé quelque chose dans tout ça? Dans un avion dans l'eau à l'envers, fuck all selon moi...
La mère ne sait pas nager et était hystérique selon le gars qui a réanimé la petite, le pilote et le père ont tout fait pour sortir le garçon mais c'était trop tard...
Il y a surement un super-fonctionnaire-qui-veut-justifier-sa-job qui va arriver avec une idée de génie comme ce que j'ai entendu quelque part:porte et fenêtre ¨éjectable¨ pour permettre aux occupants de sortir plus rapidement...Super idée mais qui va payer tout ca?
Les accidents ca arrivait, ca arrive et ca va arriver encore.
Sometimes, shit happens.
La mère ne sait pas nager et était hystérique selon le gars qui a réanimé la petite, le pilote et le père ont tout fait pour sortir le garçon mais c'était trop tard...
Il y a surement un super-fonctionnaire-qui-veut-justifier-sa-job qui va arriver avec une idée de génie comme ce que j'ai entendu quelque part:porte et fenêtre ¨éjectable¨ pour permettre aux occupants de sortir plus rapidement...Super idée mais qui va payer tout ca?
Les accidents ca arrivait, ca arrive et ca va arriver encore.
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- Bob Cadi
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Le passage de la lettre qui mentionne que le gars ne savait pas comment détacher sa ceinture me tétille beaucoup, vraiment beaucoup.
Pour 2 raisons.
Il est dans l'obligation du pilote de l'enseigner et d'en faire une démonstration pratique ou visuelle comme avec les hotesses de l'air.
Ce qui vient encore plus me tétiller...
Le gars de la suisse, n'est surement pas arrivé ici à la nage, il a du prendre un appareil volant, auquel il y a un type de ceinture identique à celui du C-185.
Que les agentes de bords n'aient elles aussi pas faite leur petit show de fonctionnement de ceinture me surprendrais beaucoup.
Le pilote à la responsabilité d'enseigner mais le passager à aussi la responsabilité d'écouter. Vraiment déplorable comme accident.
Dans mon exposé, avant vol, je vérifie le bouclage adéquat de la ceinture et avec chaques passagers je leur fait déboucler d'eux même.
Je leur explique le fonctionnement des portières.
Je leur indique et explique les gilets de sauvetages.
Je leur indique le sac de survie et les coquilles pour les oreilles.
J'explique aussi le fonctionnement du ELT et du Spot via 911.
Je les incitent aussi à prendre connaissance des petits panflets de sécurité .
Défense de fumer.
Enfin je leur dit le nombre de miles et le temps prévu tout en leur donnant un ptit breifing sur la météo anticipée.
Je leur explique les quelques phases du décollage.
Je leur fait un ptit signe avant de gunner afin d'avoir le ok de tous.
Après le décollage je regarde si tous ont la figure à bonne place.
Durant le vol je regarde une seconde fois si tout le monde est correcte.
Personne ne débarque de l'appareil tant que je ne l'ai pas amarrée correctement au quai et ensuite j'ouvre moi-même les portières.
Bon vol,
Bob
Pour 2 raisons.
Il est dans l'obligation du pilote de l'enseigner et d'en faire une démonstration pratique ou visuelle comme avec les hotesses de l'air.
Ce qui vient encore plus me tétiller...
Le gars de la suisse, n'est surement pas arrivé ici à la nage, il a du prendre un appareil volant, auquel il y a un type de ceinture identique à celui du C-185.
Que les agentes de bords n'aient elles aussi pas faite leur petit show de fonctionnement de ceinture me surprendrais beaucoup.
Le pilote à la responsabilité d'enseigner mais le passager à aussi la responsabilité d'écouter. Vraiment déplorable comme accident.
Dans mon exposé, avant vol, je vérifie le bouclage adéquat de la ceinture et avec chaques passagers je leur fait déboucler d'eux même.
Je leur explique le fonctionnement des portières.
Je leur indique et explique les gilets de sauvetages.
Je leur indique le sac de survie et les coquilles pour les oreilles.
J'explique aussi le fonctionnement du ELT et du Spot via 911.
Je les incitent aussi à prendre connaissance des petits panflets de sécurité .
Défense de fumer.
Enfin je leur dit le nombre de miles et le temps prévu tout en leur donnant un ptit breifing sur la météo anticipée.
Je leur explique les quelques phases du décollage.
Je leur fait un ptit signe avant de gunner afin d'avoir le ok de tous.
Après le décollage je regarde si tous ont la figure à bonne place.
Durant le vol je regarde une seconde fois si tout le monde est correcte.
Personne ne débarque de l'appareil tant que je ne l'ai pas amarrée correctement au quai et ensuite j'ouvre moi-même les portières.
Bon vol,
Bob
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sylva
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Tres bonne intervention Bob.....L autre chose qui me titille moi,c est que dans son temoignage le monsieur nous dit que le pilote semblait etre tres nerveux plusieurs minutes avant le facheux accident.....une panne moteur de ce genre a due donner des signes,le moteur ne semble pas s etre arreté subitement.....si c est le cas,pourquoi le pilote n a pas mis son plan d ammerissage d urgence des les premiers signes de problemes.....appel radio,briefing passager pour dire qu on effectue un amerrissage d urgence etc.....c est nebuleux tous sa......La premiere chose a faire en cas de perte de puissance moteur c est de trouver un bon endroit pour amerrire......l enquete va en dire plus long......R I P petit homme......Sylva
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merlin2340
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Très triste ce récit...
Moi aussi comme Bob je me suis dit que ces gens avaient dû avoir un breifing sur le gros porteur qui les a ammenés du vieux continent. De là à dire que le type de ceinture est identique, qui le sais? Par contre ils doivent à tout le moins se ressembler grandement. Mais, ça n'excuse pas le pilote de ne pas les avoirs renseignés sur leur fonctionnement si c'est le cas. Si le pilote n'a réellement pas fait de breifing avant le départ, ça serait une très grave faute.
Pour avoir eu un 185 pendans 2 ans, je ne m'explique toujours pas le pourquoi on peut embarquer 5 personnes (ce que je n'ai jamais fait), ça pas de sens, c'est tellement petit derrière que ça devient presque impossible de sortir en cas de problème. Je ne m'explique pas non plus pourquoi des 206 sans la porte co-pilote puissent servir à faire des vols touristiques puisque les flaps descendus ça deviens très très difficile d'ouvrir les portes arrières, je l'ai pratiqué au quai et sans panique et sans eau et c'est pas simple.
Ce qui me gosse le plus, c'est le fait que le port des gilets de flottaison ne soient pas obligatoires en hydravion, que ce soit commercial ou non, s'il y a bien quelques choses qui devrait changer dans la règlementation c'est bien cela. La tête en bas dans l'eau brune, le passager à beau avoir eu un breifing et savoir où est situé son gilet, mais je suis convaincu qu'en cas de renversement dans l'eau les passagers ne sortent pas de l'appareil vêtus de leurs fameux gilets de flottaison et je suis aussi convaincu qu'ils ne l'ont pas dans les mains non plus.
Pour ce qui est de l'âge du pilote, évidemment ça ne veux absolument rien dire, il avait peut-être bien plus d'expérience que d'autres plus vieux sur ce type d'appareil. J'aimerais bien avoir, comme d'autres, avoir la version du pilote, question de savoir ce qui s'est passé pour que l'appareil se retrouve dans cette situation malheureuse, tôt ou tard nous le saurons par le biais du rapport d'enquête, mais ce n'est pas pour demain.
Bons vols les amis et soyez prudents.
Steeve
Moi aussi comme Bob je me suis dit que ces gens avaient dû avoir un breifing sur le gros porteur qui les a ammenés du vieux continent. De là à dire que le type de ceinture est identique, qui le sais? Par contre ils doivent à tout le moins se ressembler grandement. Mais, ça n'excuse pas le pilote de ne pas les avoirs renseignés sur leur fonctionnement si c'est le cas. Si le pilote n'a réellement pas fait de breifing avant le départ, ça serait une très grave faute.
Pour avoir eu un 185 pendans 2 ans, je ne m'explique toujours pas le pourquoi on peut embarquer 5 personnes (ce que je n'ai jamais fait), ça pas de sens, c'est tellement petit derrière que ça devient presque impossible de sortir en cas de problème. Je ne m'explique pas non plus pourquoi des 206 sans la porte co-pilote puissent servir à faire des vols touristiques puisque les flaps descendus ça deviens très très difficile d'ouvrir les portes arrières, je l'ai pratiqué au quai et sans panique et sans eau et c'est pas simple.
Ce qui me gosse le plus, c'est le fait que le port des gilets de flottaison ne soient pas obligatoires en hydravion, que ce soit commercial ou non, s'il y a bien quelques choses qui devrait changer dans la règlementation c'est bien cela. La tête en bas dans l'eau brune, le passager à beau avoir eu un breifing et savoir où est situé son gilet, mais je suis convaincu qu'en cas de renversement dans l'eau les passagers ne sortent pas de l'appareil vêtus de leurs fameux gilets de flottaison et je suis aussi convaincu qu'ils ne l'ont pas dans les mains non plus.
Pour ce qui est de l'âge du pilote, évidemment ça ne veux absolument rien dire, il avait peut-être bien plus d'expérience que d'autres plus vieux sur ce type d'appareil. J'aimerais bien avoir, comme d'autres, avoir la version du pilote, question de savoir ce qui s'est passé pour que l'appareil se retrouve dans cette situation malheureuse, tôt ou tard nous le saurons par le biais du rapport d'enquête, mais ce n'est pas pour demain.
Bons vols les amis et soyez prudents.
Steeve
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