Présence des Ailes a l'aéroport de Québec ?????
Posted: Thu 16 Jul, 2009 15:46
Les Ailes sont de plus en plus près de la porte de l'Aéroport de Québec, ça fait deux ans que ADQ reluquent le terrain des Ailes. C'était pourtant écrit dans le ciel, remarquez qu'a leur place je ferai excatement la même chose.
Voici l'entrevue de DG de l'Aéroport:
Création d’au moins 500 emplois à l’aéroport de Québec
16 juillet 2009 | 10h33
Agence QMI
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Facebook Digg Del.icio.us Google Stumble Upon Furl Newsvine Reddit Technorati Blinklist Feed Me Yahoo Ma.gnolia Simpy Squidoo Spurl Blogmarks Netvouz Scuttle Comment Tailrank Sitejot Les projets d'agrandissement de 55 M$ de l’aire internationale de l'Aéroport de Québec permettront d'ajouter le quart de la superficie actuelle de l'aérogare et de créer plus de 500 emplois.
C'est ce qu'a indiqué mercredi Pascal Bélanger, président et directeur général de l'Aéroport de Québec, lors d'un entretien avec l’agence QMI où il a révélé les détails de ces projets.
Un total de 60 000 pieds, réparti sur deux étages, s'ajoutera donc aux 240 000 pieds que compte actuellement l'aérogare, réaménagée ces dernières années grâce à des investissements de 65,8 millions.
Ces projets de 55 M$ sont susceptibles de créer au minimum 500 emplois. «Je me rappelle, il y a quatre, cinq ans, il y avait 1200 jobs sur le site de l’aéroport, et maintenant il y en a au-dessus de 2000, rappelle M. Bélanger. N’appliquez pas nécessairement une règle de trois, mais si on prend la base, il y a la phase de construction, qui est temporaire, mais après ça prend des gens qui l’animent, l’entretiennent, la gèrent. Il y a des nouveaux vols et en plus il y a des retombées dans les hôtels, les compagnies de locations de voiture, alors c’est sûr que c’est très favorable.»
Plus de fluidité
L’aire des arrivées internationales sera agrandie de 30 000 pieds dans la première phase. L’Agence des services frontaliers y accueille les voyageurs à leur arrivée à Québec, au rez-de-chaussée de l’aérogare.
Comme le trafic est en croissance, explique M. Bélanger, le besoin en espace est plus important, tant pour les agents, dans leurs bureaux et services, que pour les voyageurs qui attendent pour présenter leurs papiers et récupérer leurs bagages. Un second carrousel à bagages s’ajoutera.
«Pour nous, c'est de continuer à pallier à la forte demande internationale, on est déjà très à l'étroit, affirme M. Bélanger. Ça fait aussi partie de nos projets d’adapter les infrastructures qu’on va construire pour traiter avec encore plus de facilité les passagers croisiéristes, et aussi les gros groupes, puisqu’il y en a régulièrement.» On pense notamment à un hôtel relié par une passerelle, projet qui pourrait prendre forme au cours des prochaines années.
La deuxième phase des travaux concerne le centre de prédédouanement américain, qui sera situé juste au-dessus des arrivées internationales et qui occupera lui aussi 30 000 pieds carrés. Il s'agirait du huitième au Canada et du douzième au monde. «Le prédédouanement viendra paver la voie à une activité quasi illimitée vers les destinations américaines», soutient le PDG.
M. Bélanger souligne qu’avant d’entreprendre ce projet, il faudra régler avec la Ville le dossier du compte de taxes municipales de l’aéroport, qui en raison des travaux pourrait tripler pour atteindre plus de trois millions cette année. «C’est un dossier qui avance», dit-il.
Prêts pour les travaux
Les travaux auraient pu débuter dès ce printemps, selon M. Bélanger. Des demandes de subventions ont été placées tant auprès du gouvernement du Québec que d'Ottawa, à raison de 20 millions chacun, les 15 millions restant étant investis par l’Aéroport.
«Ça progresse bien, tant avec le gouvernement du Québec que du Canada, dit-il. Je pense que c'est un projet important et majeur pour la région et ils le reconnaissent alors ça suit son cours. Jusqu'à maintenant, les signaux sont bons.»
Lors d'un entretien avec QMIl, il y a trois semaines, la ministre Josée Verner a indiqué qu’elle s’intéresse de près à ces projets de l’aéroport. «Nous avons été les premiers à embarquer en 2006, alors s'il y a une suite à donner, a-t-elle indiqué, ça m'intéresse grandement qu'on soit là.»
Quant aux travaux de réaménagement de 65,8 M$, amorcés en 2007, ils sont maintenant complétés à 95 %, selon M. Bélanger. «Il reste à terminer une jetée pour les petits avions. Ce sera complété à la fin de septembre.»
«Je pense que Québec peut facilement doubler son trafic d’ici 2020, mais pour ça il faudra des insfrastructures et un élan de développement continu et c’est la clé», souligne Pascal Bélanger, PDG de l’Aéroport de Québec.
L’Aéroport de Québec maintient son achalandage de l’an dernier, avec 1,22 million de passagers, alors que la tendance mondiale enregistre des baisses de 8 %.
Voici l'entrevue de DG de l'Aéroport:
Création d’au moins 500 emplois à l’aéroport de Québec
16 juillet 2009 | 10h33
Agence QMI
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C'est ce qu'a indiqué mercredi Pascal Bélanger, président et directeur général de l'Aéroport de Québec, lors d'un entretien avec l’agence QMI où il a révélé les détails de ces projets.
Un total de 60 000 pieds, réparti sur deux étages, s'ajoutera donc aux 240 000 pieds que compte actuellement l'aérogare, réaménagée ces dernières années grâce à des investissements de 65,8 millions.
Ces projets de 55 M$ sont susceptibles de créer au minimum 500 emplois. «Je me rappelle, il y a quatre, cinq ans, il y avait 1200 jobs sur le site de l’aéroport, et maintenant il y en a au-dessus de 2000, rappelle M. Bélanger. N’appliquez pas nécessairement une règle de trois, mais si on prend la base, il y a la phase de construction, qui est temporaire, mais après ça prend des gens qui l’animent, l’entretiennent, la gèrent. Il y a des nouveaux vols et en plus il y a des retombées dans les hôtels, les compagnies de locations de voiture, alors c’est sûr que c’est très favorable.»
Plus de fluidité
L’aire des arrivées internationales sera agrandie de 30 000 pieds dans la première phase. L’Agence des services frontaliers y accueille les voyageurs à leur arrivée à Québec, au rez-de-chaussée de l’aérogare.
Comme le trafic est en croissance, explique M. Bélanger, le besoin en espace est plus important, tant pour les agents, dans leurs bureaux et services, que pour les voyageurs qui attendent pour présenter leurs papiers et récupérer leurs bagages. Un second carrousel à bagages s’ajoutera.
«Pour nous, c'est de continuer à pallier à la forte demande internationale, on est déjà très à l'étroit, affirme M. Bélanger. Ça fait aussi partie de nos projets d’adapter les infrastructures qu’on va construire pour traiter avec encore plus de facilité les passagers croisiéristes, et aussi les gros groupes, puisqu’il y en a régulièrement.» On pense notamment à un hôtel relié par une passerelle, projet qui pourrait prendre forme au cours des prochaines années.
La deuxième phase des travaux concerne le centre de prédédouanement américain, qui sera situé juste au-dessus des arrivées internationales et qui occupera lui aussi 30 000 pieds carrés. Il s'agirait du huitième au Canada et du douzième au monde. «Le prédédouanement viendra paver la voie à une activité quasi illimitée vers les destinations américaines», soutient le PDG.
M. Bélanger souligne qu’avant d’entreprendre ce projet, il faudra régler avec la Ville le dossier du compte de taxes municipales de l’aéroport, qui en raison des travaux pourrait tripler pour atteindre plus de trois millions cette année. «C’est un dossier qui avance», dit-il.
Prêts pour les travaux
Les travaux auraient pu débuter dès ce printemps, selon M. Bélanger. Des demandes de subventions ont été placées tant auprès du gouvernement du Québec que d'Ottawa, à raison de 20 millions chacun, les 15 millions restant étant investis par l’Aéroport.
«Ça progresse bien, tant avec le gouvernement du Québec que du Canada, dit-il. Je pense que c'est un projet important et majeur pour la région et ils le reconnaissent alors ça suit son cours. Jusqu'à maintenant, les signaux sont bons.»
Lors d'un entretien avec QMIl, il y a trois semaines, la ministre Josée Verner a indiqué qu’elle s’intéresse de près à ces projets de l’aéroport. «Nous avons été les premiers à embarquer en 2006, alors s'il y a une suite à donner, a-t-elle indiqué, ça m'intéresse grandement qu'on soit là.»
Quant aux travaux de réaménagement de 65,8 M$, amorcés en 2007, ils sont maintenant complétés à 95 %, selon M. Bélanger. «Il reste à terminer une jetée pour les petits avions. Ce sera complété à la fin de septembre.»
«Je pense que Québec peut facilement doubler son trafic d’ici 2020, mais pour ça il faudra des insfrastructures et un élan de développement continu et c’est la clé», souligne Pascal Bélanger, PDG de l’Aéroport de Québec.
L’Aéroport de Québec maintient son achalandage de l’an dernier, avec 1,22 million de passagers, alors que la tendance mondiale enregistre des baisses de 8 %.