Cellulaire dans l'avion
Posted: Tue 22 Jan, 2008 08:02
Je me suis demandé si je ne joindrais pas ce texte dans "Spécial-Spécial", surtout après la lecture de la partie "alarme d'incendie"... :shock: :evil: Attachez-les quelqu'un !! :!:
Paul :D :D
P.S. Je n'ai pas le nom du journal italien d'origine du texte.
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Téléphones cellulaires allumés sur l'avion
Le pilote avait invité par trois fois les passagers à les éteindre
Les passagers distraits démasqués par l'hôtesse. Ils risquent jusqu'à trois mois de prison.
MILAN - Ils ont laissé leurs téléphones portables allumés, bien que le commandant de l'avion ait par trois fois invité les passagers à les éteindre. C'est ce qui s'est passé ce matin sur le vol Milan-Bari de 6h45. Les responsables - trois hommes - ont été identifié par l'hôtesse qui les a ensuite dénoncé à la police. Le vol est parti avec deux heures de retard.
PROBLEMES AVEC L'INSTRUMENTATION - L'avion avait quitté la zone de parking de l'aéroport de Linate, lorsque le commandant s'est rendu compte de problèmes sur les intruments moteurs - des anomalies typiques des interférences dues aux cellulaires - et a prié les passagers d'éteindre leur mobiles. Comme les dysfonctionnements persistaient, l'hôtesse a contrôlé chaque passager, découvrant ainsi que trois personnes continuaient à garder leurs mobiles sous tension. C'est alors qu'elle a appelé la police, laquelle est montée à bord et a fait débarquer les trois hommes. Parmi les passagers de ce vol, qui est parti avec deux heures de retard, figuraient Alfonso Signorini, directeur de l'hebdomadaire "Chi" et Silvia Toffanin, la présentatrice de l'émission "Verissimo".
TROIS MOIS - Il est reproché au trio "le non-respect des normes de sécurité de la navigation aérienne" et suivant l'article 1231 du Code de la navigation aérienne, ils encourent jusqu'à trois mois de prison. Suivant la police de l'air, il est peu probable qu'on leur reproche le délit (plus grave) d' "attentat à la sécurité du vol". Les trois hommes,
Giacomo A., 31 ans de Plaisance, Marco P. et Vito D. respectivement 44 et 49 ans tous deux originaire de Milan, qui ne sont donc pas partis pour Bari, ont également déclaré leur intention de porté plainte.
LE RISQUE - "Le risque n'est pas que l'avion se mette sur le dos lorsque quelqu'un téléphone ou envoit un texto. Mais les ordinateurs dans la cabine de pilotage utilisent des ondes radio pour toute un série d'opérations, et même en veille, un mobile allumé émet un flux de données qui peuvent déranger ces signaux" a explique un pilote d'Alitalia. "Il est même déjà arrivé - a-t-il rappelé - à un jet régional d'être contraint à un atterrissage d'urgence à cause du déclenchement de l'alarme incendie. Elle avait été activée par un portable qui sonnait dans un compartiment à baggages".
Paul :D :D
P.S. Je n'ai pas le nom du journal italien d'origine du texte.
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Téléphones cellulaires allumés sur l'avion
Le pilote avait invité par trois fois les passagers à les éteindre
Les passagers distraits démasqués par l'hôtesse. Ils risquent jusqu'à trois mois de prison.
MILAN - Ils ont laissé leurs téléphones portables allumés, bien que le commandant de l'avion ait par trois fois invité les passagers à les éteindre. C'est ce qui s'est passé ce matin sur le vol Milan-Bari de 6h45. Les responsables - trois hommes - ont été identifié par l'hôtesse qui les a ensuite dénoncé à la police. Le vol est parti avec deux heures de retard.
PROBLEMES AVEC L'INSTRUMENTATION - L'avion avait quitté la zone de parking de l'aéroport de Linate, lorsque le commandant s'est rendu compte de problèmes sur les intruments moteurs - des anomalies typiques des interférences dues aux cellulaires - et a prié les passagers d'éteindre leur mobiles. Comme les dysfonctionnements persistaient, l'hôtesse a contrôlé chaque passager, découvrant ainsi que trois personnes continuaient à garder leurs mobiles sous tension. C'est alors qu'elle a appelé la police, laquelle est montée à bord et a fait débarquer les trois hommes. Parmi les passagers de ce vol, qui est parti avec deux heures de retard, figuraient Alfonso Signorini, directeur de l'hebdomadaire "Chi" et Silvia Toffanin, la présentatrice de l'émission "Verissimo".
TROIS MOIS - Il est reproché au trio "le non-respect des normes de sécurité de la navigation aérienne" et suivant l'article 1231 du Code de la navigation aérienne, ils encourent jusqu'à trois mois de prison. Suivant la police de l'air, il est peu probable qu'on leur reproche le délit (plus grave) d' "attentat à la sécurité du vol". Les trois hommes,
Giacomo A., 31 ans de Plaisance, Marco P. et Vito D. respectivement 44 et 49 ans tous deux originaire de Milan, qui ne sont donc pas partis pour Bari, ont également déclaré leur intention de porté plainte.
LE RISQUE - "Le risque n'est pas que l'avion se mette sur le dos lorsque quelqu'un téléphone ou envoit un texto. Mais les ordinateurs dans la cabine de pilotage utilisent des ondes radio pour toute un série d'opérations, et même en veille, un mobile allumé émet un flux de données qui peuvent déranger ces signaux" a explique un pilote d'Alitalia. "Il est même déjà arrivé - a-t-il rappelé - à un jet régional d'être contraint à un atterrissage d'urgence à cause du déclenchement de l'alarme incendie. Elle avait été activée par un portable qui sonnait dans un compartiment à baggages".