Mile High Club
Posted: Tue 19 Sep, 2006 09:33
Voici un concept qui pourrait être importé au Québec :D
Lu sur Cyberpresse 19 septembre 2006
"MONTER AU SEPTIÈME CIEL
S'envoyer en l'air en avion
USA Today
Le pilote d'avion d'affaires Bob Smith jouit d'un à-côté planant: aider les couples à monter au septième ciel. Au coût de 299 US, il fait grimper les tourtereaux à 5280 pieds d'altitude à bord d'un Piper Cherokee 6, muni d'un matelas.
Le vol d'une durée d'une heure, qui décolle de Carrollton en Géorgie (www.milehighatlanta.com), attire les visiteurs d'aussi loin que New York. Âgé de 51 ans, M. Smith a répondu aux questions de USA TODAY.
Q : Quel type de clients attirez-vous?
R : Des couples âgés de 18 à 60 ans. J'ai reçu entre 75 et 100 couples en cinq ans, des gens venant parfois de New York ou Miami. C'est plus facile pour eux que de le faire dans les toilettes d'un 747.
Q : Est-ce que ce sont les hommes ou les femmes qui réservent?
R : Près de trois quarts des vols sont réservés par des femmes. Je crois que si un homme le propose à une femme, il a peur de lui laisser croire qu'il est un pervers. Mais si c'est la femme qui le propose, l'homme pensera qu'il s'agit d'une femme coquine.
Q : Mais votre avion est tout petit. Les gens ne sont-ils pas intimidés en votre présence?
R : Non, il y a un rideau et je porte des écouteurs. Et je pense que mes clients ne sont pas du genre pudique.
Q : Ne devez-vous pas les avertir quand l'avion atterrira?
R : Je leur donne un minuteur fixé à 50 minutes. Quand il s'arrête, ils savent qu'ils ont 10 minutes pour se rhabiller et attacher leur ceinture.
Q : Qu'est-ce que l'Administration fédérale d'aviation (FAA) pense d'un tel vol? Est-ce que vous avez dû faire face à des obstacles?
R : J'ai un permis commercial. Ce vol est classé comme touristique. Et monter au septième ciel ne contrevient pas aux règles de la FAA.
Q : Est-ce qu'il y a des gens qui s'opposent à ce que vous faites?
R : Quelques-uns sont choqués. Alors je leur dis: êtes-vous contre les hôtels qui louent des chambres aux couples? Je ne fais que leur offrir un lieu pour combler un de leurs fantasmes.
Q : Connaissez-vous quelqu'un d'autre offrant le même service?
R : Le seul autre que je connais est à Cincinnati et s'appelle Flamingo Air (www.Flamingo.net).
Q : Quels clients préférez-vous? Les cadres d'entreprise ou les couples?
R : J'aime les vols d'affaires, mais j'apprécie les couples parce que je sais qu'ils éprouvent du plaisir à voler.
Q : J'imagine que vous recevez des gens mariés qui ne sont pas nécessairement avec leur conjoint?
R : Après le vol, je leur donne un certificat de membre du Club du septième ciel. Quelques couples ont déjà refusé de voir leur nom écrit sur le certificat.
Q : Est-ce que la champagne est compris dans le prix?
R : Le champagne, c'est du Cook's ou du Freixenet. Je ne donne pas de Dom Pérignon. Les couples peuvent aussi garder les draps. Tout les clients ont droit à de nouveaux draps."
Lu sur Cyberpresse 19 septembre 2006
"MONTER AU SEPTIÈME CIEL
S'envoyer en l'air en avion
USA Today
Le pilote d'avion d'affaires Bob Smith jouit d'un à-côté planant: aider les couples à monter au septième ciel. Au coût de 299 US, il fait grimper les tourtereaux à 5280 pieds d'altitude à bord d'un Piper Cherokee 6, muni d'un matelas.
Le vol d'une durée d'une heure, qui décolle de Carrollton en Géorgie (www.milehighatlanta.com), attire les visiteurs d'aussi loin que New York. Âgé de 51 ans, M. Smith a répondu aux questions de USA TODAY.
Q : Quel type de clients attirez-vous?
R : Des couples âgés de 18 à 60 ans. J'ai reçu entre 75 et 100 couples en cinq ans, des gens venant parfois de New York ou Miami. C'est plus facile pour eux que de le faire dans les toilettes d'un 747.
Q : Est-ce que ce sont les hommes ou les femmes qui réservent?
R : Près de trois quarts des vols sont réservés par des femmes. Je crois que si un homme le propose à une femme, il a peur de lui laisser croire qu'il est un pervers. Mais si c'est la femme qui le propose, l'homme pensera qu'il s'agit d'une femme coquine.
Q : Mais votre avion est tout petit. Les gens ne sont-ils pas intimidés en votre présence?
R : Non, il y a un rideau et je porte des écouteurs. Et je pense que mes clients ne sont pas du genre pudique.
Q : Ne devez-vous pas les avertir quand l'avion atterrira?
R : Je leur donne un minuteur fixé à 50 minutes. Quand il s'arrête, ils savent qu'ils ont 10 minutes pour se rhabiller et attacher leur ceinture.
Q : Qu'est-ce que l'Administration fédérale d'aviation (FAA) pense d'un tel vol? Est-ce que vous avez dû faire face à des obstacles?
R : J'ai un permis commercial. Ce vol est classé comme touristique. Et monter au septième ciel ne contrevient pas aux règles de la FAA.
Q : Est-ce qu'il y a des gens qui s'opposent à ce que vous faites?
R : Quelques-uns sont choqués. Alors je leur dis: êtes-vous contre les hôtels qui louent des chambres aux couples? Je ne fais que leur offrir un lieu pour combler un de leurs fantasmes.
Q : Connaissez-vous quelqu'un d'autre offrant le même service?
R : Le seul autre que je connais est à Cincinnati et s'appelle Flamingo Air (www.Flamingo.net).
Q : Quels clients préférez-vous? Les cadres d'entreprise ou les couples?
R : J'aime les vols d'affaires, mais j'apprécie les couples parce que je sais qu'ils éprouvent du plaisir à voler.
Q : J'imagine que vous recevez des gens mariés qui ne sont pas nécessairement avec leur conjoint?
R : Après le vol, je leur donne un certificat de membre du Club du septième ciel. Quelques couples ont déjà refusé de voir leur nom écrit sur le certificat.
Q : Est-ce que la champagne est compris dans le prix?
R : Le champagne, c'est du Cook's ou du Freixenet. Je ne donne pas de Dom Pérignon. Les couples peuvent aussi garder les draps. Tout les clients ont droit à de nouveaux draps."