Connaissez-vous l'histoire de William Rankin?
Posted: Sun 27 Jan, 2019 12:23
(traduction du texte de en.wikipedia)
Le 26 juillet 1959, Rankin s'envola de la base aérienne de South Weymouth, dans le Massachusetts, pour se rendre à la base aérienne du Corps des marines de Beaufort en Caroline du Sud.
En volant au dessus d’une masse de nuages à 13 000 mètres (45 000 pieds), puis, à 14 326 mètres (47 000 pieds) et à une vitesse de pointe de 0,82 m, il a entendu un gros boom et un grondement du moteur. Le moteur s'est arrêté et un voyant d'alarme d’incendie a clignoté. Il a actionné le levier pour déployer l’auxiliary power (moteur auxiliaire en français?), qui s'est cassé. Bien qu'il ne portait pas de combinaison de compression, à 18h00, il s'est éjecté dans l'air à -50 ° C (-58 ° F).
Il a immédiatement souffert d'engelures et une décompression l’a fait saigner ses yeux, ses oreilles, son nez et sa bouche. Son abdomen a gravement enflé. Il a toutefois réussi à utiliser son apport en oxygène d'urgence. Cinq minutes après avoir abandonné l'avion, son parachute ne s'était toujours pas ouvert. Dans les régions supérieures de l'orage, avec une visibilité presque nulle, le parachute s'est ouvert à 3 000 m (10 000 pieds) en raison de la tempête qui a provoqué le déclanchement du commutateur barométrique du parachute.
Après dix minutes, Rankin était toujours en l'air, emporté par les courants ascendants et frappé par la grêle. Les vrilles qui tournaient et le martelaient le faisaient vomir. La foudre est apparue, qu'il décrit comme des lames bleues de plusieurs pieds d'épaisseur et un tonnerre qu'il pouvait sentir. La pluie l'a obligé à retenir son souffle pour ne pas se noyer. Un éclair enflamma le parachute, faisant croire à Rankin qu'il était décédé. Les conditions se sont calmées et il est descendu dans une forêt (il s’est accroché à des branches d’arbres je pense). Sa montre indiquait 18h40. Cela faisait 40 minutes qu'il s'était éjecté. Il a cherché de l'aide et a finalement été admis dans un hôpital à Ahoskie, en Caroline du Nord. Il souffrait d'engelures, de marques, d'ecchymoses et d'une grave décompression.
Le 26 juillet 1959, Rankin s'envola de la base aérienne de South Weymouth, dans le Massachusetts, pour se rendre à la base aérienne du Corps des marines de Beaufort en Caroline du Sud.
En volant au dessus d’une masse de nuages à 13 000 mètres (45 000 pieds), puis, à 14 326 mètres (47 000 pieds) et à une vitesse de pointe de 0,82 m, il a entendu un gros boom et un grondement du moteur. Le moteur s'est arrêté et un voyant d'alarme d’incendie a clignoté. Il a actionné le levier pour déployer l’auxiliary power (moteur auxiliaire en français?), qui s'est cassé. Bien qu'il ne portait pas de combinaison de compression, à 18h00, il s'est éjecté dans l'air à -50 ° C (-58 ° F).
Il a immédiatement souffert d'engelures et une décompression l’a fait saigner ses yeux, ses oreilles, son nez et sa bouche. Son abdomen a gravement enflé. Il a toutefois réussi à utiliser son apport en oxygène d'urgence. Cinq minutes après avoir abandonné l'avion, son parachute ne s'était toujours pas ouvert. Dans les régions supérieures de l'orage, avec une visibilité presque nulle, le parachute s'est ouvert à 3 000 m (10 000 pieds) en raison de la tempête qui a provoqué le déclanchement du commutateur barométrique du parachute.
Après dix minutes, Rankin était toujours en l'air, emporté par les courants ascendants et frappé par la grêle. Les vrilles qui tournaient et le martelaient le faisaient vomir. La foudre est apparue, qu'il décrit comme des lames bleues de plusieurs pieds d'épaisseur et un tonnerre qu'il pouvait sentir. La pluie l'a obligé à retenir son souffle pour ne pas se noyer. Un éclair enflamma le parachute, faisant croire à Rankin qu'il était décédé. Les conditions se sont calmées et il est descendu dans une forêt (il s’est accroché à des branches d’arbres je pense). Sa montre indiquait 18h40. Cela faisait 40 minutes qu'il s'était éjecté. Il a cherché de l'aide et a finalement été admis dans un hôpital à Ahoskie, en Caroline du Nord. Il souffrait d'engelures, de marques, d'ecchymoses et d'une grave décompression.
