Pilotes Québec

Quelqu'un a-t-il un truc pour soulager le mal de l'air de mon co-pilote?
Ma blonde est malade dès qu'elle quitte le plancher des vaches. Une solution non-pharmacologique serait évidemment idéale. Quelqu'un a essayé les bracelets Relief-Band? Apparemment, on a pas le mal de l'air en hélico, mais j'suis pas encore rendu là.

Vos commentaires seront appréciés.

Luc

Un des trucs, malgré la croyance populaire, est de manger avant le décollage . . . pas trop mais manger juste assez, normalement quoi . . .

Cela s'applique aussi au mal de mer . . .

Ce qui aide énormément, c'est d'être assis à l'avant et de regarder à l'avant. Le mal des transports est souvent causé par le défilement du paysage par le côté . . .

Pour les bracelets, chez certaines ca fonctionne très très bien . . . il existe également des pilules naturelles dont je ne me rappelles plus le nom, mais disponible dans les pharmacies . . .

Pour le véhicules, j'ai reglé le problèem de mal des transport de ma blonde en faisant teinté les vitres de côté et plus de mal de coeur, mais je suis persuadé que c'est interdit dans l'aviation . . .

Si le mal de mer est la même chose que le mal de l'air, c'est vrai que les bracelets fonctionnent.

En tout cas pour ma blonde, ça a fait des merveilles en voilier même en haute mer... (traversée entre la Martinique et Ste-Lucie)

Et en voilier, on dit toujours qu'il ne faut jamais avoir faim. Il ne faut pas se bourrer la face, mais manger peu et réulièrement. Parce que quand vous ressentez la faim.......... trop tard, le mal de mer (ou de l'air j'imagine) arrive normalement très vite.

François

J'abonde dans le sens de Bonin de manger un peu tout le temps.

On a fait ça sur le voilier à Sainte-Lucie cet hiver.

Allô northpole et les PICs.

Et tant qu'à manger un p'tit peu avant, comme conseillé,
mange de la banane !

Si jamais ça doit re-sortir malgré tout, c'est
ce qui goûte le **meilleur**, ou le **moins pire**,
quand ça re-sort par en-haut ! B-)))

Cieux bleus ET CALMES !

J'ai eu à composer avec le problème du mal de l'air lorsque j'ai fait ma licence de pilote privé. Le tout a été réglé définitivement (cela fait plus de trois ans) par trois visites chez un acupuncteur. J'ai été moi-même très surpris, car c'était la première fois que je visitais ce type de professionnel. De toute évidence, très efficace. L'acupuncteur ne semblait même pas surpris des résultats. Cela semblait même être de la routine!

Un mot pour vous dire que c'est ma première communication sur le site, mais que je le consulte pratiquement à tous les jours. Fort intéressant, très collégial. J'y apprend beaucoup sur l'aviation. Fort heureux d'être membre des ailes depuis l'automne dernier. Belle gang!


Mermoz

Un truc qui semble fonctionner : passe-lui les commandes. C'est presque instantanné. Je ne sais pas comment ni pourquoi mais ça fonctionne.

s

Au début de ma licence privé, j'avais mal au coeur à chaque vol ! Il était même question d'arrêter mon cours. Voici ce que mon instructeur m'a dit : " Beaucoup de nouveaux pilotes ont ce problème, le stress et la nervosité en sont la principale cause, donne toi du temps "

L'idée d'occuper le passager le plus possible est une excellente idée, ca enlève le stress sans vraiment s'en rendre compte.

Ce qui peut aider, manger un peu avant le vol, biscuit soda pendant le vol à essayer!!!

Ce qui est à éviter : Trop boire avant et pendant le vol !

Après en avoir parlé à mon instructeur, après quelques vols, tout mes symptômes de nausé ont disparues. Merci Yves :wink: pour tes bons conseils !
Salutations!
André

Vous allez être surpris, mais j'ai aucune solution !!!
En hydravion, j'ai remarqué que ma blonde pouvait voler sans problème si on évitait quelques écueils: Ne pas la laisser lire quoique ce soit. Elle ne doit pas prendre de photos, ou manipuler une caméra video. Elle ne doit pas fixer non plus les cadrans. Le pilote évitera les virages prononcés (au delà de 15 degrés... je sais c'est pas beaucoup, mais pour ma blonde, c'est comme être à l'envers). Éviter à tout prix les bardassages provoqués par les thermiques, monter plus haut s'il le faut. Voler avant 10 heures du matin l'été à 8,000 ou plus, ou après 5 heures fin de journée.
Tout ça, c'est pas des solutions, c'est des succédanés à effet placebo.

Sinon, achetées à la poche, les Gravol, c'est plus économique.

Le vol en hélico a tout réglé. En hélicoptère, elle se comporte comme Julie payette dans l'espace, jolie, intelligente, et pas de problème. Et pourtant, on s'est fait brasser pas mal quelques fois.

Maintenant, si t'es capable d'avoir un hélicoptère sur prescription, ça sera remboursé par l'Assurance médicament.
Bye
Gaston


Gaston

Bonjour toxedo_2000

Presque un copier/coller d'une réponse que tu avais donné il y a quelques années sur le forum de l'APBQ :wink: :D
Par contre, n'avais-tu pas élaboré davantage sur le pourquoi en hélico il y presque jamais de personne malade ?

De mon côté, j'ai aussi déjà ressenti des malaises, et l'explication de mon instructeur, est que c'est une histoire de "dressage" d'estomac à force de monter en avion. Ça passe après environ 6 à 8 vols. Et c'est comme ça que je me suis débarrassé du mal de l'air.

Au plaisir

Al

C'est bien beau tout ça, mais ça ne fonctionne que pour les gars.

Quand une fille voit un beau pilote et qu'elle a le mâle de l'air, c'est quoi la solution?

:roll:

Constipus wrote:Bonjour toxedo_2000

Presque un copier/coller d'une réponse que tu avais donné il y a quelques années sur le forum de l'APBQ :wink: :D

Au même problème, la même solution faut croire. Mais je ne me souviens pas de ça.

Constipus wrote: Par contre, n'avais-tu pas élaboré davantage sur le pourquoi en hélico il y presque jamais personne malade ?

Oui, ça je me souvenais d'avoir écrit là-dessus. Donc je n'ai pas répété.

Constipus wrote:De mon côté, j'ai aussi déjà ressenti des malaises, et l'explication de mon instructeur, est que c'est une histoire de "dressage" d'estomac à force de monter en avion. Ça passe après environ 6 à 8 vols. Et c'est comme ça que je me suis débarrassé du mal de l'air.

C'est aussi une excellente méthode, c'est la méthode marine. Faut juste convaincre la personne d'avoir mal au coeur plusieurs fois. C'est ça qui est pas facile.
Gaston

Merci pour toutes vos réponses, je vous en redonnerai des nouvelles au cours de l'été.

Luc

Moi ...je suis fragile surtout sur le siège d'en arrière lors d'exercisse de recherche en fixant le sol en tournant, parfois meme dans un certain Ovation aussi en tournant... :roll:

Martin :wink:

Il existe aussi maintenant des gravol au gingembre, dit naturel, qui ne cause pas de somnelance et qui m'a a été rapporté comme étant très efficace.

L'acuponcteur de mermoz samble pas mal non plus.

lol Moi je mâche une grosse gomme et cela est efficace! :lol:

Pour repondre un peu sur le POURQUOI que en Hélico on a moins le mal de l'air (je n'affirme rien.. juste des suppositions) je crois que vue que les pales avancent dans l'air plus vite qu'une aile fixe, la différence de vitesse lorsqu'il y a des rafales de vents de + ou - 15-20 KTS metton, est bcp plus évidente sur un profil qui avance à 100 kts (fixe) que sur un profil qui avance à 300 kts ou + comme sur un hélico... Alors je crois que c'est pour cette raison que en hélico ca brasse moins, et en plus, la flexibilité des pales d'un hélico absorbe bcp plus les variations et vibrations du au brassage de l'air que sur un profil fixe directement sur un fuselage! Alors dites vous que si un pilote d'hélico vous dit que ca brasse pas mal en haut..... ca devrait être pire en avion....

En tk, j'ai moi même éprouvé quelques malaises en faisant ma licence sur avion en ne faisant que des virages 45 degres mais quand j'ai fais ma licence professionnelle sur hélico, je n'ai jamais eu encore de malaise quelque soit la sorte... (je touche du bois la) et ceux qui font leur cours d'hélico savent que on en fait des pas pire aussi avec nos machines a voiluires tournantes!!! (virages a + que 60 degres, autorotations, virages d'évitements, vol a basse altitudes en évitent des arbres, déccélération rapide, etc etc) hehehe Les malaises aussi sont psychologique... Quand j'ai fais mon premier tour d'hélico en 1995 a Lachute, j'avais mal au coeur avant meme le décollage parce que j'avais peur d'avoir mal au coeur... Le stress de pas savoir ce qui va arriver c'est quasiment pire!

Et pour faire un mix entre manger ou prendre des gravols pour le mal de l'air, j'ai la solution... manger du MECDO! Ca été prouvé qu'il y aurait des substences se rapprochant aux gravols dans la nourriture la-bas donc, du meme coup, vous aurai mangé et pris des substences gravol! hahaha

Bonne journée!

PHIL

Je crois aussi que l'effet gyroscopique y est pour beaucoup dans la stabilite de l'appareil.

C-Phil wrote:Pour repondre un peu sur le POURQUOI que en Hélico on a moins le mal de l'air (je n'affirme rien.. juste des suppositions) je crois que vue que les pales avancent dans l'air plus vite qu'une aile fixe, la différence de vitesse lorsqu'il y a des rafales de vents de + ou - 15-20 KTS metton, est bcp plus évidente sur un profil qui avance à 100 kts (fixe) que sur un profil qui avance à 300 kts ou + comme sur un hélico... Alors je crois que c'est pour cette raison que en hélico ca brasse moins, et en plus, la flexibilité des pales d'un hélico absorbe bcp plus les variations et vibrations du au brassage de l'air que sur un profil fixe directement sur un fuselage! Alors dites vous que si un pilote d'hélico vous dit que ca brasse pas mal en haut..... ca devrait être pire en avion....
PHIL

And we have a winner ! :o
Gaston

Y sont pas malade en hélico parce-que y sont assis sur un vribrateur HI HI