Tentative de réponse ci-bas.
- Anémomètre.
- Altimètre.
- Dispositif empêchant les défauts de fonctionnement en conditions de givrage pour chaque indicateur de vitesse (Réchauffe Pitot).
- Source auxiliaire de pression statique.
- Compas magnétique.
- Indicateur gyroscopique de direction ou un compas gyromagnétique (conservateur de cap).
- Un indicateur de virage et d’inclinaison latérale.
- Indicateur gyroscopique d’inclinaison latérale et longitudinale (indicateur assiette).
- Variomètre.
- Thermomètre d’air extérieur.
- Dispositif d’avertissement de panne d’alimentation ou un indicateur de vide qui indique la puissance, provenant de chaque source d’alimentation, qui est disponible pour les instruments gyroscopiques.
- Montre ou horloge indiquant les secondes.
- Équipement permettant des communications radio bilatérales.
- Équipement de radionavigation suffisant pour permettre:
+ De se rendre à l’aérodrome de destination ou à un autre aérodrome convenable pour l’atterrissage.
+ Dans le cas d’un aéronef utilisé en IMC, d’effectuer une approche IFR et, au besoin, une procédure d’approche interrompue.
- Avoir au moins un instrument en backup. (exemple: 2 VOR, 1 VOR et 1 ADF, 1 GPS WAAS et 1 VOR).
- Dans l’espace aérien intérieur du Nord:
+ Un instrument indépendant de toute source magnétique permettant de déterminer la direction.
- Lorsque le givrage est possible ou signalé:
+ Les moteurs, les hélices et la cellule doivent être convenablement protégés contre le givrage et:
+ L’aéronef doit être certifié apte à voler dans des conditions de givrage.
Naturellement, ça va prendre un transpondeur dans les espaces aériens qui en exigent mais ce n'est pas obligé par l'IFR.
SVP vous fiez au RAC et pas à moi...
