Gaston, ton papa te cherche !!
Posted: Sat 06 Apr, 2013 04:46
Conocí a una dama, un Québec hace que los mil años. Yo no tengo el derecho de decir si ella vino aquí en Cuba, o si era yo el que había viajado. Ni siquiera era el líder de la revolución. Yo tenía veinte años, y ella también. Fue amado. Tenemos que irnos. Ella ya estaba casado. Acabo de enterarme de que tenía un hijo para mí. Veo que se acerca la muerte, y sé que por fin. Tiene que me gusta, supongo. Físicamente. E incluso carácter. Si conoces a alguien revolucionario, rebelde, dispuesta a luchar contra el más poderoso, el dictador muy capaz de hacer discursos que duran horas y horas, y luego mirar a los ojos y pregúntate la pregunta de si él es como yo. Si encuentra mi hijo, ofrezco una recompensa. Una semana en una Cuba con todo incluido.
Fidel Castro

Traduction par Google : J'ai rencontré une dame, une québécoise, il y a de ça mille ans. Je n'ai pas le droit de vous dire si c'est elle qui est venue ici, à Cuba, ou si c'est moi qui avait voyagé. Je n'étais même pas encore le chef de la révolution. J'avais vingt ans, et elle aussi. On s'est aimé. On a du se quitter. Elle était déjà mariée. Je viens d'apprendre qu'elle a eu un fils de moi. Je vois approcher la mort, et je veux enfin le connaitre. Il doit me ressembler j'imagine. Physiquement. Et même de caractère. Si vous connaissez quelqu'un de révolutionnaire, d'insoumis, prêt à se battre contre les plus grandes puissances ou les assurances, très dictateur, tête dure, qui ne change jamais d'idée même si il a tord pendant cinquante ans, capable de faire des discours qui dure pendant des heures et des heures, alors regardez le dans les yeux, et posez vous la question si il me ressemble. Si vous trouvez mon fils, j'offre une récompense. Une semaine dans un tout-compris à Cuba. Et dites lui que mon frère commence à être fatigué lui aussi, et qu'on aurait bien besoin d'un plus jeune pour prendre la tête du pays.
Fidel Castro

Fidel Castro

Traduction par Google : J'ai rencontré une dame, une québécoise, il y a de ça mille ans. Je n'ai pas le droit de vous dire si c'est elle qui est venue ici, à Cuba, ou si c'est moi qui avait voyagé. Je n'étais même pas encore le chef de la révolution. J'avais vingt ans, et elle aussi. On s'est aimé. On a du se quitter. Elle était déjà mariée. Je viens d'apprendre qu'elle a eu un fils de moi. Je vois approcher la mort, et je veux enfin le connaitre. Il doit me ressembler j'imagine. Physiquement. Et même de caractère. Si vous connaissez quelqu'un de révolutionnaire, d'insoumis, prêt à se battre contre les plus grandes puissances ou les assurances, très dictateur, tête dure, qui ne change jamais d'idée même si il a tord pendant cinquante ans, capable de faire des discours qui dure pendant des heures et des heures, alors regardez le dans les yeux, et posez vous la question si il me ressemble. Si vous trouvez mon fils, j'offre une récompense. Une semaine dans un tout-compris à Cuba. Et dites lui que mon frère commence à être fatigué lui aussi, et qu'on aurait bien besoin d'un plus jeune pour prendre la tête du pays.
Fidel Castro

