Bonjour a tous
Merci Jean-Pierre d' avoir pris la peine de faire un petit résumer de la matinée du Dimanche le 18.
Sur le post *Montgolfière* vous voyez les vols effectuer, mais malheureusement , il a a aussi des annulations de vol, dans lequel, entre autre, Djipibi était supposer voler.
Maintenant , passont au vol.
Après plusieurs journées très occupé au bureau et dans la vie familiale (nouveau grand-père), j’ai finalement pris le temps de vous compter mon dernier vol du 11 Janvier dernier.
Dimanche 11 Janvier 2009
La prévision pour Dimanche est un vent a 330 a 15 Kts et par la suite vers midi les vents devraient diminuer a 7 Kts. J’ai quand même pris la chance de *réservez* tout mon monde et on suivra l’évolution des vents de proche.
Au lever ce matin, a 6 :30, le vent est effectivement a 15Kts, durant une grosse heure et demi, je vérifie sur plusieurs sites la situation présente. Vers 8 :00am, je constate un début de baisse des vents. Après quelques téléphones à nos comparses de vol, nous décidons de se rendre au rendez-vous pour 11 :00Am. Je finalise de me préparer après avoir confirmé le vol a mes passagers (un copain et sa fille) et mes *poursuiveux*…….
On se rencontre donc a l’ hôtel a 11 :00Am et avec crainte, nous constatons une choses : les drapeaux sur le mat de l’ hôtel sont droit comme une barre, ca nous indiques au moins 10 Kts………..
Qu’a cela ne tienne, on décide de se rendre sur le site de décollage qui est choisi selon la directions des vent, soit la patinoire sur le canal entre L’Ile Ste-Thérèse et St-Jean sur Richelieu. Sur les lieux, déjà plusieurs personnes s’adonne a leurs activités favorite.
Avant d’embarquer sur la glace, nous choisissons notre *spot* pour décollé qui est directement a coté de la patinoire, a l’ endroit ou les ski doo se promènent. Pour nous y rendre, nous devront embarquer sur la glace, rouler sur environ 1000’ et reculer nos remorques dans le banc de neige fait sur le coté de la patinoire. Dès notre entré sur la glace, plusieurs personnes ont décidé de nous suivre en patins, ayant bien deviné que nous venions ici pour décoller.
Nous commençons a nous installer malgré le vent qui souffle encore a au moins 10 Kts. Les gens commencent a s’approcher autour de nous, je suis le plus près de la glace et Richard est directement a coté de moi. Les gens les plus proche de moi sont a environs 5 pieds de moi et sont très respectueux, ne posant pas de questions, voyant bien que je suis affairer a préparer mes choses.
Les passagers de Jean-François ayant annulé leurs vol, J-F embarquera donc avec Richard et Julien, ils piloteront chacun leurs tour le ballon Lucar. Nous faisons un dernier briefing météo a 4 et après un appel a la tour, celui-ci nous confirme un vent constant a 10-12 Kts. D’un commun accord, il est décider que Richard décollera en premier et que je suivrai.
Après un montage très difficile dans le vent, toute mon équipe et aussi les équipiers de Richard maintiennent la nacelle au sol. Après avoir éprouver quelques problème avec son *kwik release* ( relacheur) , le ballon Lucar finit pas s’ envoler.
Je décide de commencer a préparer le matériel
On part le ventilateur, après avoir finit mes vérifications, l’enveloppe a pris dans le vent et celle-ci a commencer a flotter horizontalement a 3 ou 4 pieds au dessus du sol. Par le fait même la nacelle s’est relever debout avec la force du vent dans l’enveloppe. Nécessairement le tout est attaché au camion avec un câble de sécurité.
Cela vient de faire la même chose au ballon de Richard.
Cette méthode de décollage forcé par la nature est assez particulière et très risquer car il est très facile de bruler des panneaux de tissus car l’enveloppe bouge tout le temps dans le vent, tant et aussi longtemps qu’ils n’y a pas assez d’air chaud a l’intérieur. J’allume les bruleurs et commence a chauffer, mon niveau de stress ou d’adrénaline ( a ce point je ne le sais plus) est a son plus élever. Mes mains en tremble. Après quelques seconde de chauffe, l’enveloppe se stabilise et commence a s’élever. Plusieurs patineurs sont *accrocher* a ma nacelle pour m’éviter de trop bouger, ils sont venu nous aider de leurs propres chef. Je fais embarquer mes amis, remercie les patineurs et lâcher tout………………
Le stress s’en va au fur et a mesure que l’on s’élève dans le ciel.
Nous nous amusons a faire beaucoup de vol de contour ( rase-motte) très près du sol et des arbres.
La force des vents est différente en dedans de 500’ de hauteur, pendant quelques temps on s’amuse donc a faire une course, on se suis et on se dépasse a quelques occasion.
Salut des 3 commandants….
Mon but est d’accrocher les plus hautes branches des arbres au passage, ma question : quand je devrai commencer a chauffer pour ne pas rater mon coup……..
Nous approchons du terrain que nous avons choisi d’atterrir
Nous terminerons notre vol sur le même terrain ou nous avions atterris lors de notre vol en haute altitude en Octobre dernier. J’avais atterris a ce moment dans le stationnement du propriétaire et Richard, quand a lui, avait atterris près de la porcherie a plus de 1000’ de moi.
Ce matin, ce fut le contraire, j’ai atterris a coté de la porcherie et Richard est aller rendre visite au propriétaire du terrain.
Le vol a duré 2 :00, a cette date, depuis le début de l’hiver, j’ai 3 vols d’effectuer pour un total de 6 :30 de vol. J’ai déjà hâte a mon prochain vol.
