Pilotes Québec

jass wrote:Prochain vidéo Claude ça prend les atterrissages aussi!
Les lac sont moins bosselés que ceux du Saguenay.

Désolé Jass, c`est ma blonde qui gère la caméra dans l`avion et depuis quelques vols elle oblie un peu

Cuber

Diner au Lac de L`est avec la RAF ( Rimouski Air Force )

PS: Jass, je t`ai mis des atterrissages comme demandé

Cuber

http://youtu.be/xQXf-NMzwA0" onclick="window.open(this.href);return false;

Ici pour ceux qui on des IPAD ou IPOD

http://vimeo.com/85676911" onclick="window.open(this.href);return false;

Super vidéo Claude! Ca l'air des belles places à voler, mais j'ai trop peur de traverser le fleuve...

jass wrote:Super vidéo Claude! Ca l'air des belles places à voler, mais j'ai trop peur de traverser le fleuve...

Dans le secteur de Riv. du Loup le fleuve n`est pas tres large et tu as l`île aux lievres au milieu pour te crasher au sec j`avais testé mon cub pour le taux de plané : + ou - 1.5 milles par 1000pieds de descente, A Rimouski on traverse, Île du Bic a forestville ( environ 15 milles ) je monte a 7000 pieds, donc 1.5 X 7 = 10.5 milles de plané, Je ne me sens quand même pas à l`aise au dessus de l`eau sans les flottes.

Cuber

Je me demendais si vous aviez des trucs ou disons plutôt des choses à savoir pour mieux protéger la fourche avant d'un appareil sur ski avec une roue de nez durant la circulation au sol, au takeoff et au landing.

J'ai déjà volé en Challenger II et le pilote faisait souvent la technique de terrain mou sur le terrain bosselé.

En fait j'ai l'impression qu'à l'accélération au décollage et que la neige est compacte et inégale, le train avant est soumis à des coup latérale lorsque j'utilise les palonniers droite ou gauche pour maintenir la direction. Je me demande s'il ne faut pas être trop agressif pour conserver la direction d'un appareil équipé d'une roue de nez sur certain fond de neige.

J'ai volé sur 2 pushers, le Challenger II au tout début, puis sur un Titan Tornado II jusqu'à la fin de l'hiver dernier Deux appareils semblables au niveau du comportement au décollage sur ski.
Je devais m'accoter le manche dans le nombril pour le décollage afin d'alléger le nez le plus possible sur les surfaces dures et irrégulières.
Malgré tout, le ski avant mangeait souvent de sérieux coups.
Denys

Il est vrai qu'en plus d'avoir un train avant, c'est un pusher créant un moment piqueur. Je pense que je devrai préparer de façon plus minutieuse la surface lorsqu'elle sera dure et inégale. J'en parle parce que dernièrement j'ai atterrit sur la rivière aux Outardes sur la Cote-Nord et cela ma surpris de voir qu'une surface pourvue d'une belle neige blanche pouvant être aussi dure et raboteuse causant beaucoup de stresse sur l'appareil à l'atterrissage, mais ausssi énormément au décollage.

J'imagine que beaucoup de gens ont des anecdotes a propos de leur expérience sur ski et je parle des mauvaises expériences qui pourrait être profitable pour nous tous, ainsi que des résolutions prisent et cela peut importe le type d'avion.

[quoteDans le secteur de Riv. du Loup le fleuve n`est pas tres large et tu as l`île aux lièvres au milieu pour te crasher au sec ][/quote]

Il y a une plage dans le tiers nord de l'Ile aux lièvres qui peut servir de piste d'atterrissage. Elle est un peu en forme de banane, d'une largeur d'environ une 50taine de pieds à marée basse et en pente descendante vers l'eau.

Dans les années 70-80, certains pilotes de RdL y atterrissaient régulièrement avec des C-150, aéronca, etc. Donc, d'une longueur suffisante pour de petits avions.

Anecdote : À la fin des années 70, après un largage de parachutistes à CYRI, j'ai essayé d'y atterrir en C-180 et je me suis fais une bonne frousse. Approche avec moteur et full flaps, afin de passer par dessus 2 avions qui y étaient déjà stationnés, ce qui a réduit ma longeur de «piste» disponible. Coupé moteur, arrondi, toucher des roues. Dès que les roues ont touché, je me suis senti tiré vers l'eau en raison du sable mou. J'aurai probablement pu arrêter l'avion en tout sécurité avant un tas de roches en bout de piste, mais j'ai décidé de remettre les gas. N'ayant pas assez de temps pour me pencher pour saisir la poignée des flaps et risquer de perdre ma vision au dessus du dash, j'ai décollé full flaps. J'ai réussi à lever l'avion suffisamment pour éviter les roches en bout de piste (avec une 10zaine de pieds de loose selon les spectateurs ). Et là, sur l'adrénaline au boutte, à environ 50' au dessus de l'eau, j'ai enlevé mes flaps d'un seul coup ! J'ai perdu environ 40' en 1 seconde. J'ai réussi à garder mon fond de culotte propre, mais de justesse. Je devais avoir environ 125-150 heures. Depuis je n'ai jamais plus enlevé mes flaps d'un seul coup!

Alain

paramedic wrote:J'imagine que beaucoup de gens ont des anecdotes a propos de leur expérience sur ski et je parle des mauvaises expériences qui pourrait être profitable pour nous tous, ainsi que des résolutions prisent et cela peut importe le type d'avion.

Je me lance.....

Un atterrissage gross weight, des landing struts qui date d'un autre époque, des bungees trop raide, des lames de neige dures comme de la roche....

Résultat, de l'expérience de plus et le bout d'un aile sablé jusqu'à la toile.

J'ai acheter des struts neuves, mis des bungee plus mou, ajouté des câbles de sécurité et surtout je fais plusieurs passes en cas de doutes.

Pour ma part j'ai crochi un peu ma fourchette de mon train avant sans incident. Pour réduire les risques à l'avenir je vais faire une passe basse pour mieux évaluer le fond du terrain. Si le fond n'est pas acceptable pour moi, je vais revenir un autre jour. Il est difficile de voir des vallons à 500 pieds sol même lorsqu'il fait soleil. Lors de mon dernier vol ce n'est qu'en courte finale que j'ai commencé à percevoir ces détails. Bref, je continue d'apprendre.