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toxedo_2000 wrote:Aujourd'hui, je suis allé à Bromont bruncher avec des amis. Il y avait deux visiteurs, (2 C-172). Puis je suis allé plus loin dans les Cantons de l'est vers South Bolton; Ça soufflait, mais rien de si pire.
Gaston, est-ce que je me trompe mais l'hélicoptère est plus "facile" pour l'atterrissage quand les vents sont fort :?: :?:
Si t'es vente de face, un hélico est très facile à poser par n'importe quel vent, tout comme un avion. Si le vent vient de la droite, sur un hélico américain, ça va pas si mal, parce que le vent amplifie l'effet anti-couple, mais cause un effet de girouette dans le sens du couple.
Si le vent vient de la gauche, sur un hélico américain, le rotor de queue se trouvera en interférence avec ses propres tourbillons, ce qui peut mener à une perte d'efficacité du rotor de queue, voir à un décrochage aérodynamique du rotor de queue, ce qui ruinera la journée de pas mal de personne si ce n'est pas adressé de la bonne façon.
Par contre, un vent de la gauche cause un effet girouette dans le sens contraire du couple, ce qui devrait nous aider, mais comme le rotor de queue est en interférence, ce n'est pas ce qui arrive. Un vent entre 7 et 11 va causer des soucis à un hélico américain.
Un vent arrière va conduire à une accélération du taux de lacet, ce qui peut mener à un décrochage du rotor de queue.
Par fort vent, le plus gros problème est d'arrêter le rotor sans endommager la tête rotor, le mât et potentiellement la poutre de queue.
OlivierC-FWOL wrote:..... Par fort vent, le plus gros problème est d'arrêter le rotor sans endommager la tête rotor, le mât et potentiellement la poutre de queue.
8)
Surtout avec des appareils comme le Bell 206, n'est-ce pas? Le 44 est beaucoup moins à risque de ce côté là.
Un ami qui possédait un Bell 206 ne pouvait pas tourner en stationnaire, vent de dos important, pour se poser. Il me disait qu'il risquait de ne pas être capable de l'empêcher de revenir vent de face. Probablement à cause de la très longue queue qui poigne dans le vent... Et s'il y a des obstacles dans les parages, ce qui est souvent le cas avec l'opération d'un hélico, un gars se ramasse le rotor de queue dans le décor assez vite, merci. Ce phénomène est beaucoup moins problématique avec le R44.
Et effectivement, pour travailler dans le vent, il y a pas mieux qu'un hélicoptère.
OlivierC-FWOL wrote:..... Par fort vent, le plus gros problème est d'arrêter le rotor sans endommager la tête rotor, le mât et potentiellement la poutre de queue.
8)
Surtout avec des appareils comme le Bell 206, n'est-ce pas? Le 44 est beaucoup moins à risque de ce côté là. Un ami qui possédait un Bell 206 ne pouvait pas tourner en stationnaire, vent de dos important, pour se poser. Il me disait qu'il risquait de ne pas être capable de l'empêcher de revenir vent de face. Probablement à cause de la très longue queue qui poigne dans le vent... Et s'il y a des obstacles dans les parages, ce qui est souvent le cas avec l'opération d'un hélico, un gars se ramasse le rotor de queue dans le décor assez vite, merci. Ce phénomène est beaucoup moins problématique avec le R44.
Et effectivement, pour travailler dans le vent, il y a pas mieux qu'un hélicoptère.
D'apres-vous, est-ce que le R66 sera comme le R44 pour ce genre
d'example