Pilotes Québec

Comme j'aimerais pouvoir raconter comme toi ,on es dans l'évenement.Touchant,tres belle écriture.
Je crois que l'on est du pour un bon livre sur l'aviation de chez nous...Peu de personne on le vecue et la capacité de le mettre en mots.Toi tu l'a...
En tout cas moi j'en acheterais un c'est sur,pis si tu as besoin, je peux te mettre en contact avec des anciens pilote de brousse ,un en particulier qui a piloter le meme otter de 1974 a 2004,des histoires il en a...
Michel.

Merci Louis de partager cette histoire si touchante. Il est 5:30 du matin je dois quitter pour le travail et tu as réussi à me faire pleurer.

Surtout n'arrête pas d'écrire.

Christian

Merci Louis pour le récit, les passionnés en général sont souvent des authentiques.

Seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin.

Mausus de Louiis,

Ton récit a réussi à m'émouvoir au plus haut point. Ce qui touche dans tes écrits (plus spécialement celui-ci) c'est le manque de pudeur de ta plume. Elle nous ouvre le fond de tes trippes. Comment y résister...

À partir d'aujourd'hui, ta peine est moins lourde puisque nous sommes maintenant plusieurs à la porter avec toi.

Merci pour cette confiance. Merci pour ce manque de censure. Merci pour être vrai. Merci d'être ce que tu es.


Frank

Frank-Mtl wrote:Mausus de Louiis,

Ton récit a réussi à m'émouvoir au plus haut point. Ce qui touche dans tes écrits (plus spécialement celui-ci) c'est le manque de pudeur de ta plume. Elle nous ouvre le fond de tes trippes. Comment y résister...

À partir d'aujourd'hui, ta peine est moins lourde puisque nous sommes maintenant plusieurs à la porter avec toi.

Merci pour cette confiance. Merci pour ce manque de censure. Merci pour être vrai. Merci d'être ce que tu es.


Frank

;)p Bravo Frank , s'est tres bien dit, et ca represente ce que nous pensons de notre amis Louis et ses récits.

Mike

En te lisant ce matin, tu me rappelles les fois que je lisais Saint-Exupéry il y à déjà des dizaines d'années. Je te dis merci de m'avoir conté ces souvenirs. Georges

Incapable de travailler, je lis et relis ton témoignage. Je sais je ne devrais pas lire « Les Ailes » au boulot, mais c’est toujours plus fort que moi, espérant trouver un filon intéressant à lire… Et aujourd’hui, je me suis fait prendre par ton texte. Incapable de décrocher…

Je suis persuadé que ton professeur a su lire quelque chose de tes pages blanches, mais comment aurait-il pu justifier une note supérieure à celle inscrite ?

Pour la majorité des lecteurs des Ailes, nous te connaissons par tes propos et écris plus loufoques les uns que les autres, surenchéris surtout par Gaston, mais aussi quelques autres. Nous ne pouvons faire autrement que d’en rire aux larmes…

Mais pour plusieurs, la bouffonnerie est un masque pour cacher une grandeur d’âme ou protéger une âme sensible, parfois même les deux. Aujourd’hui, je décèle que tu dois sûrement protéger les deux. Aujourd’hui, avec tes mots et tes émotions mises à nue devant nous tous, tu as su encore une fois nous faire pleurer, mais cette fois-ci pour des émotions beaucoup plus pures, pour des événements qui se sont passé il y a maintenant 30 ans mais qui sont encore frais en mémoire pour plusieurs, comme si c’était hier.

Il y aura toujours une personne que nous rencontrerons dans notre vie qui, sans trop savoir ni pourquoi ni comment, nous ferra nous dépasser soi-même. J-C aura su, à sa façon, te faire ouvrir une fenêtre sur ton âme. Que dis-je, une porte-patio ou même une porte de grange, qui nous livre tes émotions aussi pures que l’eau coulant d’un glacier du grand nord que vous vous acharnez à nous faire découvrir par vos récits.

Maintenant, ton professeur peut écrire la note parfaite sur ta remise sans devoir se justifier. Il savait qu’un jour, tous étant que nous sommes, pourrons lire ce qu’il avait su lire sur ta page blanche.

N’arrête surtout pas, Louiis, à te livrer ainsi à nous tous qui sont et seront à jamais pendus à tes lèvres, à ta plume, à tes mots gribouillés ça et là, au fil de tes émotions, joyeuses ou moins joyeuses, selon les émotions que tu auras décidé de nous livrer.

Merci de nous faire plonger au centre de nous même, de nous permettre de vivre ou revivre des émotions que nous croyions enfouies, parfois pour toujours, et de les partager, parfois avec quelques mots seulement, avec tous les lecteurs.

Louis
Merci d avoir accepté cette pénible tâche de nous raconter ce récit qui nous a ému grandement !Je dois t avoué avoir versé quelques larmes en te lisant car c est un peu ce qu a vécu Sarto ( mon conjoint )... 2 printemps brisés dans sa vie... un en 79 un 90 ...Il m a dit après t avoir lu et en s essuyant les yeux

( Dis a Louis que si jamais il fait d autres cauchemars que je suis prêt a partager mon gros tas de shrinking tubes

Sincèrement Louis nous te remercions infiniment de tout tes écrits qui un jour j espère les trouvé dans un livre avec tout ceux qui connaissent la force de cette grande passion.... L AVIATION merci
Dolorès

Merci Louis pour ce magnifique témoignage, tu es de la trempe des gens, des artistes pour ne nommer qu'eux et bien d'autres qui embellissent le monde et qui le rendent meilleur.

Pierre

T'as pas de boutte Louiisssss.... ;)p q:)p

(Je le sais, c'est de ma faute...)

Monsieur Grenier,

Merci !

Je vous admire.

Francis

Merci Louis pour le beau récit. Le jour de cet accident, j'étais en vol au nord de Schefferville et me battais contre le vent et y ai survécu.
Racontes-nous en encore de ces belles hitoires
Bonne journée
Jacques

Merci Louis,

Je partage aussi ta peine et je comprend très bien ce sentiment.

Moi aussi j'étais en vol le jour de cet accident. Je revenais de Schefferville, avec 2 passagers. Quelques jours auparavant, j'avais vu tout ce monde à Squaw lake à Schefferville et je suis aller à la pêche près du lieu de l'accident quelques jours avant eux.

C'est durant le vol de mon retour que j'ai entendu un signal très faible de ELT sur mon radio VHF alors que j'étais à 7,000 pieds au dessus du lac St-Jean en route vers Gatineau. J'ai rapporter ce signal de détresse au FSS de Roberval et je me rappelle qu'une jeune femme pilote d'un avion bimoteur qui était dans le coin de Roberval et qui faisait un vol de patrouille de feu a dit qu'elle allait monté en altitude et elle avait confirmée que elle aussi recevais un signal de détresse d'un ELT.

J'ai toujours crû que ce signal de détresse était relier à cet accident, parce que l'heure à laquelle j'ai reçu ce signal de détresse correspondait pas mal avec le temps de cet accident d'après ce que je pouvais entendre aux nouvelles de TV et Radio, après mon retour. Je ne pouvais pas croire que c'était leur signal de ELT que j'entendais , à cause de la distance d'où j'étais du lieu de l'accident et aussi après avoir entendu le récit de cet accident à la TV.
Ce n'est que quelques années après ce malheureux accident, que j'ai compris pourquoi j'ai entendu un signal de ELT ce jour là.

J'ai rencontré Gaston Lepage à l'aéroport de Gatineau alors qu'il était président d'honneur du festival des mongolfières de Gatineau et je lui ai raconté ce que j'avais entendu cette journée là et il m'a dit que le ELT que j'ai entendu était sûrement le sien, parce que après l'accident, il a décollé de la rivière et survolé le lieu de l'écrasement et voyant qu'il ne pouvais amerrir, a décider de prendre de l'altitude et de demander de l'aide sur VHF en tentant de communiquer avec Kuujjuuaq et qu'il avais aussi activer son ELT pour avoir de l'aide le plus tôt possible.

C'est sans aucun doute le ELT de Gaston que j'ai entendu ce jour là.

Jacques
:cry: :cry:

M. Gernier,

Louis, par familiarité imposée dans cette confrérie de petits et grands aviateurs brousseaux ou pas..

Dans ton récit tu as fait passer tant d'émotions que de mon 6` et 260lbs , j'en braille...

j'en braille par la douleur et la beauté de cette amitié que tu continues à chérir avec ton grand chum "Lauzonné" et Mister Lepage.

Merci de briser ta carapace que tu as confectionnée à force de peine et de larmes pour nous y laisser "yeuxter" quelques instants. Merci de nous faire sentir comme des amis.

Je n'ai jamais eu la chance de vous, te, serrer la main mais je m'efforcerai cet été de le faire dans un de ces moments ou l'on devinent tous frères et amis.

Chapeau bas, et courage pour passer de nouveau à travers cet équinoxe

Sorin D. Sterescu
aka Flyrom.

de St-Hubert

O Louis!

Je reviens d'une longue absence informatique et que d'émotions à te lire. J'ai eu la chance de te rencontrer une seule fois, mais malgré la dizaine d'années passées, je m'en souviens comme si c'était hier.

Tu es d'une GRANDEUR autant en personne que pour tes écrits. Merci d'être présent pour nous...

Que d'émotions dans vos réponses également... vous êtes tous formidables et attachants dans vos diversités littéraires.

Au plaisir de vous serrer la main à plusieurs occasions.

Patrick

Merci M.Grenier,rien à r'ajouter ,maudite poussière dans les yeux .Daniel Jobin
Trois-Rives

http://www.journaldemontreal.com/2017/0 ... es-present" onclick="window.open(this.href);return false;

Tiens, un petit coup de poignard au coeur ce matin.

louis

Je pense encore souvent à Marie-Soleil. Surtout parce qu'on est nées la même année à quelques semaines de différence. A chaque but atteint, à chaque chose accomplie, à chaque pas de fait, à chaque progrès de mes enfants, je me dit "autant de choses de vécues que Marie-Soleil n'a pas la chance de vivre". Au début, c'était avec les yeux d'une jeune femme que je vivais sa perte, maintenant, c'est avec les yeux d'une mère de jeunes adultes. Tout ce qu'elle aurait pu accomplir mais surtout tous ces regards de fierté que sa maman aurait pu poser sur elle.

Son décès m'a touché et me touche encore. Il y a de ces gens qui laisse un peu d'eux-même dans nos vies, elle en fait partie.

Martine

En effet, Louis, digne d'une grande plume qui viens chatouiller nos émotions...

En passant...alors que tu me prenais en vol...




Moi aussi je te regardais et étais avide de chacun de tes conseils...



Bon vol Louis, à bientôt...



Bob

Tortionnaire, Louis ....

20 ans... So long, amis. On ne vous oublie pas