Faucheurs de marguerite
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denimich
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J'y suis allé et je suis revenu en 172. Moi et ma conjointe, on s'est fait brasser la cage et pas à peu près, turbulence modéré à parfois sévère dans la région du Mont Orford. Les deux atterrissages, un à CYSC et l'autre au retour à CSU3 étaient rock & roll. À CYSC, turbulence modéré en final et jusqu'au toucher. À CSU3, manche à vent à l'horizontal à 85 degré de la piste. Comme on dit: "y fallait pas dormir s'a switch"
Nous ne sommes pas resté aussi longtemps qu'on avait prévu. Nous avons fait le tour des kiosques dans le hangar, parlé à quelques connaissances et ensuite, nous sommes repartit car il y avait des orages dans les prévisions à partir de 1800Z.
Denis
Nous ne sommes pas resté aussi longtemps qu'on avait prévu. Nous avons fait le tour des kiosques dans le hangar, parlé à quelques connaissances et ensuite, nous sommes repartit car il y avait des orages dans les prévisions à partir de 1800Z.
Denis
- FlyROM
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Voila! nous y somme allées en mode terrestre,
J'esspérai voir Cardinal pour les Casquettes, (On se reprendra, le cheque est dans la mail dès lundi)
Mais je fut un tantinet décu, peut-être à cause de l'heure d'Arrivée ( 13h30 locale) y restait plus grand monde!
voici quelques clichées pour ceux qui n'ont pus y être
http://ca.pg.photos.yahoo.com/ph/flying_romanian/album?.dir=/a2a2re2&.src=ph&.tok=ph8ubHFBB1xzBmq.
FlyROM
J'esspérai voir Cardinal pour les Casquettes, (On se reprendra, le cheque est dans la mail dès lundi)
Mais je fut un tantinet décu, peut-être à cause de l'heure d'Arrivée ( 13h30 locale) y restait plus grand monde!
voici quelques clichées pour ceux qui n'ont pus y être
http://ca.pg.photos.yahoo.com/ph/flying_romanian/album?.dir=/a2a2re2&.src=ph&.tok=ph8ubHFBB1xzBmq.
FlyROM
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snowman.
Un beau petit voyage et pas long à part ça, 7500 pieds croisiere avec un petit saut à 9500 pied le temp de dire ouf... 210 kt vitesse sol un voyage assez calme sauf lors de la descente à partir de 3000 pieds et moins et un attérissage plutôt rock and roll :wink: , retour vers 18:00 , 2000 pieds... le calme plat 130 kt pour le retour.
Denis t'es partis trop vite ... :wink:
Martin :wink:
P.s. revue et corrigé par miss W.P. :lol:
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- OlivierC-FWOL
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- MichelC
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J'ai bien essayé de m'y rendre samedi matin...
On devait théoriquement avoir le temps d'y aller fin d'avant-midi et de revenir tôt pour éviter les sautes de vent... ouin !
En chemin, le vent de dos est agréable et on file à 105 Kts-sol... pas mal ! Au contact avec l'Unicom, je me fais décrire des vents avec rafales de 17kts, mais presque dans l'axe de la 31... hmmmm... ok, çà devrait aller...
En finale, je me mets en glissade et je note que l'aile gauche est pas mal basse, mais bon... on arrondit, oups, encore plus basse l'aile, mais çà va toujours. La roue gauche touche et... rock & roll !!!!! Wow, les rafales sont pas mal plus fortes, et pas dans l'axe du tout !!! Oups !!!! Après 2 ou 3 tangages vite compensés mais quand même assez forts, remise des gaz, on sort d'ici vite, çà presse !!!
Ma blonde me regarde avec des yeux ronds: Bin quoi, on atterrit pas ???? :shock:
En remontée, turbulences du diable, elle qui devient verte et qui comprend vite pourquoi on repart... Ensuite, turbulences modérées sur presque la moitié du trajet vers Mascouche... elle n'a pas apprécié et je ne me suis pas trop reposé non-plus ! :roll: J'ai finalement expérimenté en personne l'adage qu'il vaut mieux être au sol en espérant être en vol qu'être en vol en souhaitant être au sol... oufffff !
C'était la première fois dans mes petites 600 heures d'expérience que j'avais à canceller un atterrissage à cause du vent. Il est clair que si j'avais persisté, c'était un ground loop assuré. Des amis qui ont vu mon approche m'ont appelé en soiré pour me féliciter de ma prise de décision... un chum a même laissé son 140 sur place et est retourné chez-lui sur 4 roues ! Whoaaaaa...
Pas agréable, mais belle expérience finalement. Je connais désormais ma limite pratique et non pas théorique, et celle de mon avion, surtout. Et j'ai promis à ma blonde de plus jamais l'amener voler dans des conditions du genre !
Les Faucheurs, ce sera pour l'an prochain ! :wink:
Michel C-GNCJ
On devait théoriquement avoir le temps d'y aller fin d'avant-midi et de revenir tôt pour éviter les sautes de vent... ouin !
En chemin, le vent de dos est agréable et on file à 105 Kts-sol... pas mal ! Au contact avec l'Unicom, je me fais décrire des vents avec rafales de 17kts, mais presque dans l'axe de la 31... hmmmm... ok, çà devrait aller...
En finale, je me mets en glissade et je note que l'aile gauche est pas mal basse, mais bon... on arrondit, oups, encore plus basse l'aile, mais çà va toujours. La roue gauche touche et... rock & roll !!!!! Wow, les rafales sont pas mal plus fortes, et pas dans l'axe du tout !!! Oups !!!! Après 2 ou 3 tangages vite compensés mais quand même assez forts, remise des gaz, on sort d'ici vite, çà presse !!!
Ma blonde me regarde avec des yeux ronds: Bin quoi, on atterrit pas ???? :shock:
En remontée, turbulences du diable, elle qui devient verte et qui comprend vite pourquoi on repart... Ensuite, turbulences modérées sur presque la moitié du trajet vers Mascouche... elle n'a pas apprécié et je ne me suis pas trop reposé non-plus ! :roll: J'ai finalement expérimenté en personne l'adage qu'il vaut mieux être au sol en espérant être en vol qu'être en vol en souhaitant être au sol... oufffff !
C'était la première fois dans mes petites 600 heures d'expérience que j'avais à canceller un atterrissage à cause du vent. Il est clair que si j'avais persisté, c'était un ground loop assuré. Des amis qui ont vu mon approche m'ont appelé en soiré pour me féliciter de ma prise de décision... un chum a même laissé son 140 sur place et est retourné chez-lui sur 4 roues ! Whoaaaaa...
Pas agréable, mais belle expérience finalement. Je connais désormais ma limite pratique et non pas théorique, et celle de mon avion, surtout. Et j'ai promis à ma blonde de plus jamais l'amener voler dans des conditions du genre !
Les Faucheurs, ce sera pour l'an prochain ! :wink:
Michel C-GNCJ
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snowman.
novembercharliejuliet wrote:J'ai bien essayé de m'y rendre samedi matin...
On devait théoriquement avoir le temps d'y aller fin d'avant-midi et de revenir tôt pour éviter les sautes de vent... ouin !
En chemin, le vent de dos est agréable et on file à 105 Kts-sol... pas mal ! Au contact avec l'Unicom, je me fais décrire des vents avec rafales de 17kts, mais presque dans l'axe de la 31... hmmmm... ok, çà devrait aller...
En finale, je me mets en glissade et je note que l'aile gauche est pas mal basse, mais bon... on arrondit, oups, encore plus basse l'aile, mais çà va toujours. La roue gauche touche et... rock & roll !!!!! Wow, les rafales sont pas mal plus fortes, et pas dans l'axe du tout !!! Oups !!!! Après 2 ou 3 tangages vite compensés mais quand même assez forts, remise des gaz, on sort d'ici vite, çà presse !!!
Ma blonde me regarde avec des yeux ronds: Bin quoi, on atterrit pas ???? :shock:
En remontée, turbulences du diable, elle qui devient verte et qui comprend vite pourquoi on repart... Ensuite, turbulences modérées sur presque la moitié du trajet vers Mascouche... elle n'a pas apprécié et je ne me suis pas trop reposé non-plus ! :roll: J'ai finalement expérimenté en personne l'adage qu'il vaut mieux être au sol en espérant être en vol qu'être en vol en souhaitant être au sol... oufffff !
C'était la première fois dans mes petites 600 heures d'expérience que j'avais à canceller un atterrissage à cause du vent. Il est clair que si j'avais persisté, c'était un ground loop assuré. Des amis qui ont vu mon approche m'ont appelé en soiré pour me féliciter de ma prise de décision... un chum a même laissé son 140 sur place et est retourné chez-lui sur 4 roues ! Whoaaaaa...
Pas agréable, mais belle expérience finalement. Je connais désormais ma limite pratique et non pas théorique, et celle de mon avion, surtout. Et j'ai promis à ma blonde de plus jamais l'amener voler dans des conditions du genre !
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Michel C-GNCJ
Moi qui voulait y aller en Bush Cady .... j'étais mieu avec un Mooney, pis comme si ce n'étais pas assez stressant,j'attérit en meme temp qu'un autre Mooney sur son départ (avec beaucoup d'expérience celui là :lol: :lol: :lol: ) me regarde m'en venir comme une "vache folle" qui ganbade dans tout les sens... :roll:
Martin 8)
P.S mal pris michel tire toi sur le gazonne, ça pardonne beaucoup...
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Georges
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HÉ Snowman, en effet j'étais à te regarder te poser à Sherbrooke en attente de décollage. Mon épouse m'a fait la remarque que tu as fait un très bel atterrissage et que tout semblait aller. C'est vraie cependant qu'un avion semble bien stable quand on la regarde à distance.Lâches pas c'est le métier qui entre.Je constate que même après des milliers d'atterrissages il m'arrive d'en manquer et je me dis qu'un bon atterrissage est celui qui permet au pilote de sortir en marchant. :lol: :lol: :lol: :lol: Georges
- MichelC
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Effectivement, j'y ai pensé après, au gazon. Si j'avais été serré en essence, c,est sans doute ce que j'aurais fait (hmmm, que j'aime atterrir sur le gazon... c'est vrai que çà pardonne beaucoup. Mais comme j'avais en masse d'essence pour le retour (bien m'en pris), c'est la décision que j'ai pris finalement.
Faut dire qu'avec la teinte verte de ma blonde, j'ai eu une motivation supplémentaire ! :lol: :lol: :lol: Pôvre chouette !
Mais peut-être qu'effectivement, j'aurais dû m'essayer là en partant considérant les conditions ? Qu'est-ce t'en penses Martin ? Des commengtaires les autres pilotes de roues de queues ?
Michel C-GNCJ
Faut dire qu'avec la teinte verte de ma blonde, j'ai eu une motivation supplémentaire ! :lol: :lol: :lol: Pôvre chouette !
Mais peut-être qu'effectivement, j'aurais dû m'essayer là en partant considérant les conditions ? Qu'est-ce t'en penses Martin ? Des commengtaires les autres pilotes de roues de queues ?
Michel C-GNCJ
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snowman.
Georges wrote: je me dis qu'un bon atterrissage est celui qui permet au pilote de sortir en marchant. :lol: :lol: :lol: :lol: Georges
Le miens étais tres bon :idea: puisque l'avion étais réutilisable... :wink: , J'veux pas vous faire chier mais y en a un qui a décolé et réatterrit par ce vent avec une chaise volante,j'tais sur qui s'en allais se tuer le pauvre ...ben non :wink:
novembercharliejuliet wrote:Effectivement, j'y ai pensé après, au gazon. Si j'avais été serré en essence, c,est sans doute ce que j'aurais fait (hmmm, que j'aime atterrir sur le gazon... c'est vrai que çà pardonne beaucoup. Mais comme j'avais en masse d'essence pour le retour (bien m'en pris), c'est la décision que j'ai pris finalement.
Faut dire qu'avec la teinte verte de ma blonde, j'ai eu une motivation supplémentaire ! :lol: :lol: :lol: Pôvre chouette !
Mais peut-être qu'effectivement, j'aurais dû m'essayer là en partant considérant les conditions ? Qu'est-ce t'en penses Martin ? Des commengtaires les autres pilotes de roues de queues ?
Michel C-GNCJ
Moi si j'avais été serré en essence elle aurait probablement attérit sur la voix d'acces de travers a la piste... :roll:
Pour ma blonde y a pas de probleme j'pense qu'a là le coeur beaucoup moin fragile que moi , remarque chu pas dur a battre ...(surtout dans un certain Ovation quand le pilote fait le tour de son golf favorie... :wink: )
martin :wink:
- Luscombe
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J'opère sur le gazon mon Luscombe et je voit la différence par rapport à l'asphalte. Une très grosse différence. Là ou le gazon pardonne beaucoup, l'asphalte fait mordre 10 fois plus les pneus et pardonne presque pas.
Par vent de travers la mise de l'avion dans l'axe de la piste est aussi demandant, et faut toujours atterrir en glissade, une des roues du train principal faisant contact en premier ensuite la roue de queue et finalement l'autre roue du main. ça se fait vite à peine le temps de s'en rendre compte et l'avion roule au sol.
mon instructeur m'a appris à garder un peu de puissance ce qui me donne plus de "rudder" à cause de l'air s'écoulant autour de la queue. Si il vente un bon crosswind je garde le RPM à au moins 1000-1100 et je ferme la puissance dès que j'ai l'avion en main sur le sol.
Par vent de travers la mise de l'avion dans l'axe de la piste est aussi demandant, et faut toujours atterrir en glissade, une des roues du train principal faisant contact en premier ensuite la roue de queue et finalement l'autre roue du main. ça se fait vite à peine le temps de s'en rendre compte et l'avion roule au sol.
mon instructeur m'a appris à garder un peu de puissance ce qui me donne plus de "rudder" à cause de l'air s'écoulant autour de la queue. Si il vente un bon crosswind je garde le RPM à au moins 1000-1100 et je ferme la puissance dès que j'ai l'avion en main sur le sol.
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HWS
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novembercharliejuliet wrote:Faut dire qu'avec la teinte verte de ma blonde, j'ai eu une motivation supplémentaire ! :lol: :lol: :lol: Pôvre chouette !
Michel C-GNCJ
Attention de ne pas répéter ça trop souvent Michel!!! La "pauvre chouette" pourrait se désintéresser de l'aviation après quelques récidives de ce genre. Et tu pourrais te retrouver à voler seul ou avec des copains!!! :lol: :lol: :lol:
Yvon


