Bob Cadi wrote:Maintenant que l'enquête est terminée.
J'ai bien peur, qu'un jour, il aura brassé la ou les mauvaises personnes et un facheux '' incident '' va lui arriver.
Bob
Et c'est la grâce que je lui souhaite..... Amen......

Bob Cadi wrote:Maintenant que l'enquête est terminée.
J'ai bien peur, qu'un jour, il aura brassé la ou les mauvaises personnes et un facheux '' incident '' va lui arriver.
Bob

Ce n'était pas un passager payant, mais bien son ami qui avait suivi son cours théorique d'aviation et donc qui connaissait les règles et qui était conscentent à ce vol.

Juste fouillé sur son FB deux minutes on conclut bien vite que c'est sa fille, y a une photo des deux ensemble en bateau, quelle situation de m.... pour elle et toute sa famille, mais il n'y a que lui a blâmer...Charles wrote:Des commentaires ont été ajoutés au bas de cet article: http://www.journaldemontreal.com/2017/0 ... se-la-mort" onclick="window.open(this.href);return false;
L'un d'eux semble exposer la défense que compte invoquer l'accusé. Et il est signé par une fille qui porte le même nom de famille que lui.
Ce n'était pas un passager payant, mais bien son ami qui avait suivi son cours théorique d'aviation et donc qui connaissait les règles et qui était conscentent à ce vol.


Pour être déclaré coupable de négligence criminelle, le juge ou le jury doit être convaincu de tous les éléments suivants :
L'accusé a fait ou n'a pas fait quelque chose qui lui était imposé par une loi. CHECK
Les gestes de l'accusé démontrent une insouciante déréglée ou téméraire (en d'autres mots, excessive ou dangereuse) face à la vie ou la sécurité d'autres personnes. CHECK
Les gestes ont causé des blessures ou entraîné la mort d'une ou plusieurs personnes. CHECK
Un accusé reconnu coupable de négligence criminelle causant des blessures est passible d'une peine maximale de 10 ans de prison. Si la négligence de l'accusé a causé la mort, il est alors passible de la prison à vie.
Source: https://www.educaloi.qc.ca/nouvelles/le ... criminelle" onclick="window.open(this.href);return false;







Une minute...JSB wrote:Pour avoir été victime de la glace et du camion, selon la jurispridence de notre société sans conséquences, la distinction entre une punition de moins de 2 ans vs 5 ans et +, dépendra du taux d'alcool dans votre sang... alors c'était 3 ou 4 bières ???En bas de 0.08 % (3 bières) vous aurez moins de 2 ans dans un centre de détention rose, alors qu'en haut de 0.08 % (4 bières) c'est 5 et + avec les hells et une nouvelle carrière devant vous. Maudite boisson

Le jugement est très étonnant. Et les circonstances sont très similaire à l'accident ici: pas de permis de conduire, erreur de "pilotage" (pied sur l'accélérateur au lieu du frein), accident, mort. Elle avait les facultés affaiblies en plus. Et elle a été acquittée.bonin141 wrote:C est ce genre de défense qu'il essaie
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/715 ... erie-gagne" onclick="window.open(this.href);return false;
S'il n'y avait pas eu d'alcool impliqué dans l'accident, la situation aurait été identique à l'écrasement. Je me demande si une poursuite pour négligence criminelle aurait été envisageable dans ces circonstances et quel aurait été le verdict...(3) Quiconque commet une infraction prévue à l’alinéa 253(1)a) (conduite avec facultés affaiblies) et cause ainsi la mort d’une autre personne est coupable d’un acte criminel passible de l’emprisonnement à perpétuité.

Non, puisque la loi prévoit de pouvoir conduire un véhicule automobile quand on n'est pas titulaire d'un permis de conduire si on est accompagné d'un accompagnateur. L'accompagnateur peut être n'importe qui répond aux exigences minimum pour être accompagnateur.Charles wrote: Je me demande si une poursuite pour négligence criminelle aurait été envisageable dans ces circonstances et quel aurait été le verdict...




Le coucher du soleil a eu lieu a exactement 19h05 comme mon Garmin 296 l'avait prédit. à ce moment j'avais le lac en visuel et amorcé ma décente. J'étais à ± 3500' et le lac est à ±1350'.
Le lac fait environ 2 milles de large sur 2 milles de long avec une plusieurs sections qui se jette ou sort de lui mais qui ne sont pas utilisable pour un avion sauf peut-être un Piper sur flotte.
Normalement je choisi toujours la rive ouest pour attérrir. Parce que le vent dominant sur le lac est d'ouest aussi. Cette rive est dominé par une petite chaine de monticule qui bloque le vent et appaise la surface d'eau. Mais elle est aussi rempli de chalet et malheureusement beaucoup de mes voisins se promène le soir en chaloupe ou en pédaleau sans lumière...
J'ai fait mon premier approche plus loin de la rive ouest (environ 1/4 de mile), la ou la vague de côté se faisait sentir de façon sérieuse. Les flotteurs frapaient l'eau à tour de role. J'ai alors remis les gaz et repris de l'attitude. Je me suis dirigé vers l'est afin de tenter une approche dans l'axe Est-Ouest et face au vent et vague de surface et en profitant du crépuscule qui se réflètait très bien sur l'eau.
Ma première tentative sur cet axe ce fit au lieu du lac. Pas une bonne idée au final. Les vagues étaient tros grosses et ça cognait vraiment dur. Je suis alors remonté et tenté un troisième attérrissage plus pres de la rive ouest, là où je le faisais toujours d'habitude. Mais la hantise de frapper des jeunes admirateurs insoucient en pédaleau ou chaloupe me poussait toujours trop au large qui me faisait subir la vague de côté...
J'allais abandonner et me replier sur la Tuque quand Claude, un capitaine de 30 ans d'expérience comme moi me suggera de refaire l'approche Est-Ouest mais en longant le rebord Nord. Nous savions tout deux qu'il n'aurait pas de vague à cet endroit à cause de l'effet absorbant de la terre et des arbres. Bon d'accord je lui répondi. Dernière tentative et après on fou le camp au motel de LaTuque.
Ça allait bien, l'avion avait commencer à surfé (pas de marsounage comme certain l'ont évoqué). J'allais couper les gaz et laisse le lac nous absorber quand nous avons frappé quelques choses qui fit rebondir l'avion en flèche verticalle. J'ai remis full gaz et tenté de redressir l'avion mais sans succès. La dernière chose que je me souvient avant l'impact final c'est que tous les avertisseurs de décrochage criait au meutre. L'avion a sans doute décrocher et avec la pousser des moteurs s'est retourner pour piquer dans le lac. UN lake nécessite ± 200' pour sortir d'un décrochage.
Voilà ce qui s'est passé.
Concernant les autres thories évoquées ici :
Manque d'essence : Non je ne manquais pas d'essance. J'ai toujours toper mon avion avant chaque envole et faire le plein au retour. 40 gallons au départ, me donne 4 heures d'autonomies (assez pour deux aller-retour).
Non je ne marsounais pas à l'attérrisage. Je frappais des vagues mais l'assiète restait droite. D'ailleur mon Lake n'avait jamais marsouner au amérissage. Le seul temps qu'il était prone au marsounage était lorsqu'on montait sur le redant au décollage et il était très facile à maîtriser. Selon Denis Bernier de St-Jean Instructeur de 18000 hrs et pilote d'essais pour les Sea Wind), le Lake est bien plus costau et résistant au Marsounage que n'importquelle hydravion sur flotte.

Il a atterri quelques minutes avant le crépuscule civil, soit plusieurs minutes après que le soleil soit passé sous l'horizon. Cette affirmation mériterait d'être contre-vérifiée...Puis une autre tentative a avorté parce qu'il y avait le reflet du coucher de soleil dans l'eau.
«Ça m'aveuglait, je n'étais plus capable de déterminer où étaient les roches», a-t-il souligné.
